Publié le 22 février 2021
Dans la nuit de mardi 16 à mercredi 17 février 2021, un séisme de magnitude 2,3 a été enregistré entre Saumur et Trélazé (Maine et Loire).
Le Collectif Loire Vienne Zéro nucléaire, avec SDN 49 et Sdn-Touraine, communiquent leur inquiétude vis à vis de cet évènement naturel, au vu de la fragilité des berges de la Loire et de la proximité du CNPE (centre national de production d’électricité) de Chinon, situé dans une zone sismique. Certes, la magnitude est faible, certes, de tels évènements se produisent peu souvent (mais il s’agit du deuxième en deux mois, après celui du 11 janvier dernier), certes, les installations sont vérifiées régulièrement, certes, le CNPE est prévu pour résister à une magnitude supérieure à 7,4...
Mais nous ne pouvons nous empêcher de réfléchir à ce qui arriverait si un séisme de plus de 7,4 arrivait, digues submergées, installations du CNPE inondées. Nous ne sommes pas sûrs que les responsables de la sécurité réagiraient avec la promptitude, la rigueur et la pertinence nécessaires. En effet, nous avons assisté aux divers exercices de crises réalisés depuis quelques années, et rien ne nous dit qu’il en serait ainsi. Le meilleur moyen de prévenir les accidents nucléaires est d’arrêter tous les réacteurs installés sur le fleuve Loire, millénaire et inscrit au patrimoine de l’Unesco, ainsi que sur la rivière Vienne.
Dans la nuit de mardi 16 à mercredi 17 février 2021, un séisme de magnitude 2,3 a été enregistré entre Saumur et Trélazé (Maine et Loire).
Le Collectif Loire Vienne Zéro nucléaire, avec SDN 49 et Sdn-Touraine, communiquent leur inquiétude vis à vis de cet évènement naturel, au vu de la fragilité des berges de la Loire et de la proximité du CNPE (centre national de production d’électricité) de Chinon, situé dans une zone sismique. Certes, la magnitude est faible, certes, de tels évènements se produisent peu souvent (mais il s’agit du deuxième en deux mois, après celui du 11 janvier dernier), certes, les installations sont vérifiées régulièrement, certes, le CNPE est prévu pour résister à une magnitude supérieure à 7,4...
Mais nous ne pouvons nous empêcher de réfléchir à ce qui arriverait si un séisme de plus de 7,4 arrivait, digues submergées, installations du CNPE inondées. Nous ne sommes pas sûrs que les responsables de la sécurité réagiraient avec la promptitude, la rigueur et la pertinence nécessaires. En effet, nous avons assisté aux divers exercices de crises réalisés depuis quelques années, et rien ne nous dit qu’il en serait ainsi. Le meilleur moyen de prévenir les accidents nucléaires est d’arrêter tous les réacteurs installés sur le fleuve Loire, millénaire et inscrit au patrimoine de l’Unesco, ainsi que sur la rivière Vienne.