Article publié le 15 novembre 2014
Le 15 novembre 2014, dans le cadre de la campagne "Stop au rafistolage", le Réseau "Sortir du nucléaire" appelait à la mise en place d’actions ronds-points partout en France pour exiger la fermeture des réacteurs de plus de trente ans et pour dire non au rafistolage des réacteurs, qui devrait coûter la modique somme de 250 milliards d’euros.
Vous étiez des centaines sur les ronds-points, équipé-e-s de banderoles, de drapeaux, de tracts… Pour être vu-e-s d’un maximum d’automobilistes, de cyclistes, de passants.
Hasard du calendrier, cette mobilisation a eu lieu tout juste 3 ans après la première action rond-point, initiée par le groupe SDN Bugey. Pour l’occasion, le groupe a une nouvelle fois organisé une action "multi ronds-points" notamment avec l’appui des Suisses de ContrAtom, et des militant-e-s présent-e-s dans un rayon d’une cinquantaine de kilomètres autour de la centrale.
Dans le nord-est de la France, de nombreux ronds-points ont aussi été investis pour dénoncer le projet CIGÉO d’enfouissement en couche géologique profonde des déchets les plus radioactifs et pour exiger la fermeture de Fessenheim, la plus vieille centrale de France.
La presse aussi était au rendez-vous avec plusieurs dizaines d’articles dans les journaux locaux, et aussi des relais dans les médias nationaux.
Vous étiez des centaines sur les ronds-points, équipé-e-s de banderoles, de drapeaux, de tracts… Pour être vu-e-s d’un maximum d’automobilistes, de cyclistes, de passants.
Hasard du calendrier, cette mobilisation a eu lieu tout juste 3 ans après la première action rond-point, initiée par le groupe SDN Bugey. Pour l’occasion, le groupe a une nouvelle fois organisé une action "multi ronds-points" notamment avec l’appui des Suisses de ContrAtom, et des militant-e-s présent-e-s dans un rayon d’une cinquantaine de kilomètres autour de la centrale.
Dans le nord-est de la France, de nombreux ronds-points ont aussi été investis pour dénoncer le projet CIGÉO d’enfouissement en couche géologique profonde des déchets les plus radioactifs et pour exiger la fermeture de Fessenheim, la plus vieille centrale de France.
La presse aussi était au rendez-vous avec plusieurs dizaines d’articles dans les journaux locaux, et aussi des relais dans les médias nationaux.