Publié le 20 janvier 2020
Pour cette première action de l’année 2020 contre le projet de deux EPR au Bugey (Ain), des militants de SDN Bugey ont investi le rond-point de Vernas, tout près de la centrale nucléaire du Bugey, ce samedi 18 janvier.
Pour SDN Bugey - qui depuis plusieurs années demande l’arrêt de la centrale vieille de plus de 40 ans (la plus vieille après Fessenheim qui devrait s’arrêter en 2020) - ce projet de construction de deux nouveaux réacteurs nucléaires réclamés à corps et à cris par les élus de l’Ain lors de leurs vœux, est une totale aberration.
A l’heure où le chantier de l’EPR de Flamanville (Manche) s’enlise depuis plus de 15 ans et affiche déjà un surcoût de plus de dix milliards d’euros*, les militants n’ont de cesse de redire qu’il est urgent de sortir du tout-nucléaire et que l’argument économique est à la fois dangereux et trompeur. On ne peut continuer à miser sur cette énergie du passé qui met en péril toute la région, au prétexte que cela ramènerait des emplois.
En 2020, SDN Bugey projette de mener plusieurs actions pour informer et alerter la population de cette menace. Il est plus que temps de réagir . Pour SDN Bugey, il faut empêcher la construction de ces deux nouvelles tranches et demander l’arrêt au plus vite de la centrale du Bugey avant l’accident majeur (40 ans, ça suffit). Malgré le grand carénage amorcé (et qui coûtera plus de 2 milliards d’euros), il faut rappeler qu’une centrale nucléaire n’a jamais été prévue pour fonctionner aussi longtemps, et que dans cette installation, il y a des éléments essentiels qui ne peuvent pas se changer, comme la cuve soumise à rude épreuve durant des décennies et qui peut se fissurer.
* coût initial : 3,4 milliards d’euros . Coût actuel 13,6 milliards d’euros
Pour cette première action de l’année 2020 contre le projet de deux EPR au Bugey (Ain), des militants de SDN Bugey ont investi le rond-point de Vernas, tout près de la centrale nucléaire du Bugey, ce samedi 18 janvier.
Pour SDN Bugey - qui depuis plusieurs années demande l’arrêt de la centrale vieille de plus de 40 ans (la plus vieille après Fessenheim qui devrait s’arrêter en 2020) - ce projet de construction de deux nouveaux réacteurs nucléaires réclamés à corps et à cris par les élus de l’Ain lors de leurs vœux, est une totale aberration.
A l’heure où le chantier de l’EPR de Flamanville (Manche) s’enlise depuis plus de 15 ans et affiche déjà un surcoût de plus de dix milliards d’euros*, les militants n’ont de cesse de redire qu’il est urgent de sortir du tout-nucléaire et que l’argument économique est à la fois dangereux et trompeur. On ne peut continuer à miser sur cette énergie du passé qui met en péril toute la région, au prétexte que cela ramènerait des emplois.
En 2020, SDN Bugey projette de mener plusieurs actions pour informer et alerter la population de cette menace. Il est plus que temps de réagir . Pour SDN Bugey, il faut empêcher la construction de ces deux nouvelles tranches et demander l’arrêt au plus vite de la centrale du Bugey avant l’accident majeur (40 ans, ça suffit). Malgré le grand carénage amorcé (et qui coûtera plus de 2 milliards d’euros), il faut rappeler qu’une centrale nucléaire n’a jamais été prévue pour fonctionner aussi longtemps, et que dans cette installation, il y a des éléments essentiels qui ne peuvent pas se changer, comme la cuve soumise à rude épreuve durant des décennies et qui peut se fissurer.
* coût initial : 3,4 milliards d’euros . Coût actuel 13,6 milliards d’euros