Article publié le 5 avril 2024
Le samedi 30 mars, l’association Nos Voisins Lointains a organisé une visio-conférence "Catastrophe nucléaire : les populations sacrifiées", afin de faire le bilan de l’accident nucléaire qui a frappé la centrale de Fukushima il y maintenant 13 ans. Deux sujets principaux y sont abordés : la contamination de l’environnement par les radiations, et la violation des droits humains.
Cette visio-conférence a réuni Bruno CHAREYRON (CRIIRAD) et Akiko MORIMATSU (auto-évacuée de Fukushima, en direct du Japon)
Cette conférence vous intéresse ? Elle est accessible gratuitement sur youtube via ce lien : https://www.youtube.com/watch?v=cVYEsPe57_Q
N’hésitez pas à la partagez autour de vous !
Tchernobyl, Fukushima, on n’oublie pas, plus jamais ça !
Le discours officiel est que l’être humain peut cohabiter avec les radiations. La responsabilité de la radioprotection est désormais transférée de l’État aux individus. Chacun doit se débrouiller dans un environnement contaminé selon le principe de « résilience » individuelle.
Dans ce contexte, il nous semble important de revenir sur le terrain et d’écouter les voix des victimes. Ce sont des voix de résistance et non de résilience.
Après la diffusion d’une courte vidéo d’extraits de témoignages, nous bénéficierons des interventions en direct de Bruno Chareyron (conseiller scientifique de la CRIIRAD) et d’Akiko Morimatsu (coprésidente de la coordination nationale des plaignants en procès contre TEPCO et l’État Japonais).
Mme Morimatsu a également plaidé auprès du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, pour leur droit fondamental à vivre avec leur famille dans un environnement sain. Un temps d’échanges avec les intervenants sera enfin proposé.
Cette visio-conférence a réuni Bruno CHAREYRON (CRIIRAD) et Akiko MORIMATSU (auto-évacuée de Fukushima, en direct du Japon)
Cette conférence vous intéresse ? Elle est accessible gratuitement sur youtube via ce lien : https://www.youtube.com/watch?v=cVYEsPe57_Q
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Tchernobyl, Fukushima, on n’oublie pas, plus jamais ça !
Le discours officiel est que l’être humain peut cohabiter avec les radiations. La responsabilité de la radioprotection est désormais transférée de l’État aux individus. Chacun doit se débrouiller dans un environnement contaminé selon le principe de « résilience » individuelle.
Dans ce contexte, il nous semble important de revenir sur le terrain et d’écouter les voix des victimes. Ce sont des voix de résistance et non de résilience.
Après la diffusion d’une courte vidéo d’extraits de témoignages, nous bénéficierons des interventions en direct de Bruno Chareyron (conseiller scientifique de la CRIIRAD) et d’Akiko Morimatsu (coprésidente de la coordination nationale des plaignants en procès contre TEPCO et l’État Japonais).
Mme Morimatsu a également plaidé auprès du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, pour leur droit fondamental à vivre avec leur famille dans un environnement sain. Un temps d’échanges avec les intervenants sera enfin proposé.
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