Bure : c’est dans ce petit village de la Meuse que l’industrie nucléaire veut enfouir ses déchets les plus dangereux, qui resteront radioactifs pendant des centaines de milliers d’années.
30 janvier 2018 |
Un pas de plus dans la criminalisation du mouvement contre le projet CIGÉO. Un militant vient de prendre 1 mois de prison ferme pour "rébellion" et pour avoir refusé d’être fiché génétiquement. Une manœuvre supplémentaire injuste dans la répression du mouvement, que nous condamnons fermement.
Le tribunal de Bar-le-Duc (Meuse) a condamné, ce mardi 30 janvier, à un mois de prison ferme, un opposant au projet d’enfouissement de déchets radioactifs à Bure.
Par Jean-François Didier Publié le 30/01/2018 à 12:13
Mardi 30 janvier 2018, le tribunal de Bar-le-Duc a condamné à un mois de prison ferme, un opposant au projet Cigeo de Bure (Meuse). Ce militant anti-nucléaire était poursuivi pour rébellion. Poursuivi pour rébellion L’homme avait été interpellé le 20 septembre 2017 lors d’une perquisition à la Maison de la résistance.
Il était poursuivi pour rébellion et refus de se soumettre au contrôle d’identité, au test d’alcoolémie et à la prise d’empreintes digitales et d’ADN.
Le 17 janvier dernier, le parquet avait requis deux mois de prison pour le refus de prises d’empreintes et quatre mois pour menaces de mort.
Selon le collectif d’opposants au projet d’enfouissement réuni ce matin devant le tribunal :
Le tribunal de Bar-le-Duc (Meuse) a condamné, ce mardi 30 janvier, à un mois de prison ferme, un opposant au projet d’enfouissement de déchets radioactifs à Bure.
Par Jean-François Didier Publié le 30/01/2018 à 12:13
Mardi 30 janvier 2018, le tribunal de Bar-le-Duc a condamné à un mois de prison ferme, un opposant au projet Cigeo de Bure (Meuse). Ce militant anti-nucléaire était poursuivi pour rébellion. Poursuivi pour rébellion L’homme avait été interpellé le 20 septembre 2017 lors d’une perquisition à la Maison de la résistance.
Il était poursuivi pour rébellion et refus de se soumettre au contrôle d’identité, au test d’alcoolémie et à la prise d’empreintes digitales et d’ADN.
Le 17 janvier dernier, le parquet avait requis deux mois de prison pour le refus de prises d’empreintes et quatre mois pour menaces de mort.
Selon le collectif d’opposants au projet d’enfouissement réuni ce matin devant le tribunal :
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