Bure : c’est dans ce petit village de la Meuse que l’industrie nucléaire veut enfouir ses déchets les plus dangereux, qui resteront radioactifs pendant des centaines de milliers d’années.
20 septembre 2017 |
Le Réseau « Sortir du nucléaire“ dénonce fermement la perquisition en cours à la Maison de Résistance de Bure, la gare de Luméville et au domicile d’un militant.
Depuis 6h20 du matin, une quarantaine de gendarmes sont entrés dans la Maison de Résistance, fracturant la porte au pied de biche. Ils ont également brisé des vitres de véhicules et caravanes tout autour. Une quinzaine de gendarmes serait présente à la Gare de Luméville. Le domicile d’un autre militant à Commercy a également été perquisitionné et du matériel informatique saisi.
Alors que la mobilisation contre CIGÉO s’accroît et que ce projet d’enfouissement est maintenant critiqué par des organismes officiels pour les risques qu’il entraîne, la seule réponse des autorités est la répression et la criminalisation des militants !
Cette perquisition fait suite à plusieurs mois de harcèlement policier permanent dans les villages autours de Bure, avec des rondes incessantes de véhicules de gendarmerie et d’hélicoptères et des contrôles d’identité plusieurs fois par jour visant aussi bien des militants que des agriculteurs. Il y a quelques jours, un jeune du coin de 18 ans a même été arrêté et menotté par une patrouille en civil !
Le Réseau “Sortir du nucléaire“ dénonce fermement ces méthodes inacceptables et cette escalade dans la stratégie de la tension.Il est honteux que l’État s’acharne sur les opposants plutôt que d’abandonner ce projet dangereux et imposé, qui met en danger les générations futures et actuelles.
Le Réseau “Sortir du nucléaire“ appelle à organiser des rassemblements de soutien devant les préfectures.
Des informations sur les opérations policières en cours seront mises à jour sur le site www.vmc.camp. Un point presse aura lieu dès que possible à Bure.
Le Réseau « Sortir du nucléaire“ dénonce fermement la perquisition en cours à la Maison de Résistance de Bure, la gare de Luméville et au domicile d’un militant.
Depuis 6h20 du matin, une quarantaine de gendarmes sont entrés dans la Maison de Résistance, fracturant la porte au pied de biche. Ils ont également brisé des vitres de véhicules et caravanes tout autour. Une quinzaine de gendarmes serait présente à la Gare de Luméville. Le domicile d’un autre militant à Commercy a également été perquisitionné et du matériel informatique saisi.
Alors que la mobilisation contre CIGÉO s’accroît et que ce projet d’enfouissement est maintenant critiqué par des organismes officiels pour les risques qu’il entraîne, la seule réponse des autorités est la répression et la criminalisation des militants !
Cette perquisition fait suite à plusieurs mois de harcèlement policier permanent dans les villages autours de Bure, avec des rondes incessantes de véhicules de gendarmerie et d’hélicoptères et des contrôles d’identité plusieurs fois par jour visant aussi bien des militants que des agriculteurs. Il y a quelques jours, un jeune du coin de 18 ans a même été arrêté et menotté par une patrouille en civil !
Le Réseau “Sortir du nucléaire“ dénonce fermement ces méthodes inacceptables et cette escalade dans la stratégie de la tension.Il est honteux que l’État s’acharne sur les opposants plutôt que d’abandonner ce projet dangereux et imposé, qui met en danger les générations futures et actuelles.
Le Réseau “Sortir du nucléaire“ appelle à organiser des rassemblements de soutien devant les préfectures.
Des informations sur les opérations policières en cours seront mises à jour sur le site www.vmc.camp. Un point presse aura lieu dès que possible à Bure.
Ça peut aussi vous intéresser