France

Encore une preuve que la préservation des ressources naturelles est loin d’être la priorité de l’industriel. EDF a laissé des hydrocarbures polluer les eaux, parce que le tuyau utilisé était "dégradé". La pollution, dont on ne sait rien (quantité, durée etc.) a été découverte le 20 février (...)

Le risque d’incendie dans une centrale nucléaire est un risque majeur. Pour empêcher la propagation d’un feu, et pour garantir que les circuits les plus importants restent en état de marche, plusieurs dispositifs existent. Mais sur les 4 réacteurs de Paluel (Normandie), bon nombre manquait.

Il s’agissait de la 4ème visite décennale du réacteur 2 de la centrale nucléaire de Dampierre (Centre - Val de Loire), un grand programme de vérification de la conformité des équipements et de remises en état. EDF a affirmé avoir tout réparé, l’Autorité de sûreté a donné son aval pour (...)

Le vendredi 3 mars au soir, le plan d’urgence interne "sûreté radiologique" a été déclenché à la centrale nucléaire de Cattenom (Grand Est). Un ventilateur a pris feu en zone nucléaire. Les secours ont été appelé et ont éteint l’incendie.

C’est en préparant l’arrêt du réacteur 4 de la centrale de Chinon (Centre - Val de Loire) qu’EDF s’est aperçu qu’un robinet était resté ouvert depuis...le dernier arrêt, en avril 2022. Ce robinet permet l’injection de liquide sous très haute pression dans le circuit primaire, le principal (...)

À Cattenom (Grand Est), une intervention a eu lieu sur la piscine où est entreposé le combustible usé du réacteur 2. Zone parmi les plus chaudes de l’installation, et les plus risquées, la radioactivité ambiante doit y être constamment surveillée. mais encore faut-il que les appareils soient (...)

Les fuites de liquides de refroidissement n’ont pas tari à la centrale nucléaire de Flamanville (Normandie). Malgré un quota annuel déjà atteint en août, EDF n’a pas stoppé ses "pertes" qui s’élèvent au total à un peu plus de 150 kilos pour 2022.

Il n’aura pas fallu 2 mois à la centrale nucléaire de Dampierre (Centre - Val de Loire) pour dépasser son quota annuel en "émissions de fluides frigorigènes", autrement dit en fuites de liquides de refroidissement. Des substances chimiques très prisées par EDF, qui se transforment en puissants (...)

La température et la pression de l’eau qui refroidit le combustible sont 2 critères essentiels pour qui veut garder le contrôle d’un réacteur nucléaire. Si ces paramètres sortent des plages autorisées, refroidissement et maîtrise de la réaction nucléaire ne sont plus garantis.

Une petite erreur peut avoir de grands pouvoirs. Comme celui de mettre en péril le refroidissement d’un réacteur nucléaire et rallonger le délai de déclenchement des protections comme les arrêts d’urgence en cas de besoin.