Cattenom

Un communiqué laconique, mais qui a le mérite d’exister. Le 27 juillet 2021, on apprend que le 17 juin EDF a déclaré un incident générique pour 20 réacteurs nucléaires à Belleville, Cattenom, Flamanville, Golfech, Nogent-sur-Seine, Paluel, Penly, et Saint-Alban.

Dans une discrète note d’information, EDF annonce que des phénomènes de "corrosion atypique" ont été observés sur le combustible nucléaire de 3 réacteurs français, à Chooz, à Civaux et à Cattenom. L’industriel n’explique ni les enjeux, ni les raisons de ces dégradations.

Le réacteur 1 de la centrale nucléaire de Cattenom s’est arrêté en urgence le 21 juillet 2021. EDF ne sait pas ce qui a déclenché cet arrêt et cherche à identifier le problème. Un problème qui vient s’ajouter à une liste déjà bien fournie, alors que ce réacteur a redémarré il y a moins d’un (...)

Le communiqué d’EDF du 20 juillet 2021 n’est pas très clair et pas bien long. Mais on comprend que l’industriel a changé les manières de vérifier le bon fonctionnement de ses DUS (diesels d’ultime secours), sans demander l’autorisation ni même en informer l’Autorité de sûreté nucléaire. Huit (...)

Le réacteur 1 de la centrale nucléaire de Cattenom, arrêté 3 mois pour travaux, a redémarré fin juin 2021. Mais les déclarations récentes d’EDF indiquent que tout n’était pas réglé. Capteurs HS, pompes bloquées... Des problèmes importants, qu’EDF n’a pas vu.

La direction EDF de Cattenom a déclaré en 3 semaines 3 incidents significatifs pour la sûreté du site nucléaire, tous sur le même réacteur. Tous causés par l’exploitant et tous découverts tardivement. Étourderies ou problème de fond ?

20 juin 2021, le réacteur 1 de la centrale nucléaire de Cattenom redémarre après 3 mois de travaux d’entretien. Et avec plusieurs capteurs en panne. Mal réglés ou défectueux ? Quoiqu’il en soit les tests et vérifications de ces 3 derniers mois sont passés à côté. Embêtant pour des éléments qui (...)

Le 10 juin 2021, un court-circuit survient suite à une intervention d’EDF sur le réacteur 3 de la centrale de Cattenom. Durant plus d’une heure il n’y a plus eu de ventilation en zone nucléaire. Et du combustible est resté accroché une heure et demie à un appareil de manutention.

Une modification des systèmes de mesure de la radioactivité a été appliquée en 2018 sur 16 réacteurs nucléaires. Depuis, les informations transmises en salle de commandes n’étaient plus fiables. EDF a mis trois années à s’en rendre compte.

Montée anormale du taux d’ammoniac dans un local rattaché à la station de traitement des eaux du site.