France

Le 4 juin 2016, les équipes en charge du pilotage du réacteur n° 2 constatent que les informations transmises par l’un des 4 capteurs de la mesure neutroniques sont erronées.

Le 4 juin 2016, un défaut de configuration du circuit d’alimentation en air qui permet l’actionnement d’une vanne sur le circuit de délestage de vapeur a été détecté.

Le 3 juin 2016, l’exploitant a détecté la présence inappropriée d’un matelas de plomb placé entre la tuyauterie de production de vapeur du réacteur n° 2 et une chaîne de détection de la radioactivité.

Le 2 juin 2016, arrêt anticipé du réacteur 3 (programmé initialement le 4 juin), en raison d’un aléa survenu sur une vanne située sur le circuit primaire.

Le 31 mai 2016, contamination de dix salariés d’entreprises prestataires, à l’issue d’un chantier de maintenance sur l’unité n° 4.

Le 31 mai 2016, l’un des assemblages de combustible neufs est placé par erreur dans l’alvéole repérée Q05, alors qu’il aurait dû être placé dans l’alvéole O5.

Lors du redémarrage du réacteur 1 dans la nuit du 29 au 30 mai, la vitesse moyenne de montée en puissance a été dépassée à 3 reprises.

L’instruction liée au réexamen de sûreté de 2015, pour le MIR de Bugey, fait état de la non-tenue au séisme majoré de sécurité du pont de manutention équipant cette installation.

Le 23 mai 2016 à 19h10, l’unité de production n° 1 de la centrale de Nogent s’est arrêtée automatiquement.

Le 21 mai à minuit, la puissance de l’unité de production n° 4 de la centrale de Paluel a été réduite à 60%, afin de réaliser une opération de maintenance. A 3h20, le dysfonctionnement d’une vanne, sur cette même partie de l’installation, a entrainé une baisse de puissance automatique à 25% de (...)