Saint-Laurent

Après l’arrêt automatique du réacteur 2, le mépris des règles générales d’exploitation du réacteur 1. Un essai sur un des groupes électrogène de secours a été poursuivi alors qu’une pompe surchauffait.

Le 19 janvier 2018, le réacteur 2 de la centrale nucléaire de Saint-Laurent s’est arrêté automatiquement. Le même jour, l’ASN communique sur un évènement concernant le même réacteur, passé discrètement sous silence par l’exploitant.

Le 11 octobre 2017, EDF a annoncé une anomalie générique de niveau 2 : les tuyauteries qui assurent l’apport en eau nécessaire au refroidissement des réacteurs ne tiendront pas en cas de séisme.

Début mai 2015, le documentaire "Nucléaire, la politique du mensonge ?" a fait connaître au grand public les accidents nucléaires graves qui se sont déroulés à la centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux (Loir-et-Cher). En 1980, du plutonium a notamment été déversé dans la Loire ! Or, sur (...)

Le 10 novembre 2015, l’unité de production n° 1 a été déconnectée de façon fortuite du réseau électrique national suite à la réalisation d’un essai périodique.

L’unité n° 1 a été déconnectée du réseau électrique le 12 octobre 2015 suite à l’arrêt de la turbine du groupe turbo-alternateur, située dans la partie non nucléaire de l’installation.

Alors que le rapport annuel 2014 de Saint-Laurent-des-Eaux fait état d’un événement de « Dépassement de la limite réglementaire de la substance matières en suspension – prélèvement de janvier 2014 » déclaré le 7 février, un document confidentiel interne d’EDF témoigne d’un autre dépassement (...)

Malgré une inspection "Environnement" à la centrale faisant apparaître de nombreuses infractions, EDF a été relaxée en première instance et en appel. La Cour de cassation a rendu sa décision le 15 mai 2018.

DIFFUSION : LUNDI 4 MAI 2015 A 22H50 Une enquête de Jean-Baptiste Renaud Production : Premières Lignes Télévision Durée : 52 min Depuis 40 ans, on nous répète que le nucléaire français serait « sûr », « propre » et « bon marché ». Trois « atouts » qui sont en réalité plus que contestables. (...)

Le 22 juin 2014, alors que le réacteur n° 2 de la centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux était en production, la température du circuit primaire est descendue sous la valeur minimale autorisée par les spécifications techniques d’exploitation, après en avoir dépassé la valeur maximale. (...)