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Actuellement : 2 réacteurs de 30 et 32 ans
Une situation déjà problématique :
▸ Un site au bord de la mer exposé aux risques de submersion. Risque renforcé avec le réchauffement climatique et la montée du niveau de la mer.
▸ Des mises à l’arrêt fréquentes du fait d’incidents techniques réguliers
▸ Des circuits essentiels pour la sûreté affectés par des fissures (au 2ème semestre 2022, arrêt des deux réacteurs pour investigation)
Le projet Macron : construction de 2 réacteurs supplémentaires pour mise en service à partir de 2037 impliquant :
▸ lourd travaux de terrassement incluant un reprofilage de la falaise
▸ déplacement ou élimination de la biodiversité présente sur le site (notamment au niveau des mares)
▸ Une fois les réacteurs en fonctionnement, rejets chimiques et radioactifs supplémentaires dans l’environnement
Actuellement : 4 réacteurs de plus de 40 ans + 1 réacteur arrêté (démantèlement laborieux)
Une situation déjà problématique :
▸ Des incidents (fuites radioactives…) et des mises à l’arrêt fréquents du fait de la vétusté des installations, de défauts d’entretien et de suspections de corrosion sous contrainte affectant la tuyauterie (en avril 2022 tous les réacteurs du Bugey étaient arrêtés !)
▸ Problèmes de fuites sur l’enceinte de confinement du réacteur n°5
▸ 274 « irrégularités » constatées sur des pièces équipant la centrale
▸ Risque d’inondation en cas de rupture du barrage de Vouglans qui souffre d’un nombre alarmant de fissures
▸ Un site situé dans une zone classée en risque sismique 3 (modérée)
Le projet Macron : site en compétition avec Tricastin pour « accueillir » deux nouveaux réacteurs risquant d’aggraver considérablement :
▸ la prise en charge des problématiques existantes sur un site qui souffre déjà de nombreux dysfonctionnements
▸ les conflits d’usage déjà importants concernant l’eau du Rhône
▸ Une fois les réacteurs en fonctionnement, rejets chimiques et radioactifs supplémentaires dans l’environnement
Actuellement : 4 réacteurs de plus de 40 ans
Une situation déjà problématique :
▸ Des incidents et des mises à l’arrêt fréquents du fait de la vétusté des installations et de défauts d’entretien
▸ La cuve d’un des réacteurs compte une trentaine de fissures depuis son origine
▸ Constat de problèmes récurrents dans la prise en charge de la radioprotection
▸ Risque d’inondation en cas de dégradation de la digue du canal de Donzère-Mondragon ; une portion de 400m a été renforcé car jugée insuffisamment robuste pour parer à un fort séisme mais les travaux effectués ont-ils été suffisants ?
▸ Un site situé dans une zone classée en risque sismique 3 (modérée)
▸ La tenue des diesels de secours ne semble pas garantie en cas de canicule
Le projet Macron : site en compétition avec le Bugey pour « accueillir » deux nouveaux réacteurs risquant d’aggraver considérablement :
▸ la prise en charge des problématiques existantes sur un site qui souffre déjà de nombreux dysfonctionnements
▸ la gestion des déchets et le confinement des substances radioactives liquides qui est déjà fortement problématique à Tricastin
▸ Une fois les réacteurs en fonctionnement, rejets chimiques et radioactifs supplémentaires dans l’environnement
Actuellement : 6 réacteurs dont 3 de plus de 40 ans et 2 de plus de 35 ans
Une situation déjà problématique :
▸ Un site construit sur un polder et exposé aux risques de submersion dès à présent.
▸ La digue actuelle n’a pas été conçu en prenant en compte le réchauffement climatique et la montée du niveau de la mer
▸ Des incidents et des mises à l’arrêt fréquents du fait de la vétusté des installations
Le projet Macron : construction de 2 réacteurs supplémentaire impliquant :
▸ de lourd et dangereux travaux de terrassement dans une zone sensible
▸ une aggravation de la prise en charge des problématiques existantes sur un site vétuste qui souffre déjà de nombreux dysfonctionnements
▸ Une fois le réacteur en fonctionnement, rejets chimiques et radioactifs supplémentaires
Gabegie financière, atteintes à l’environnement, problèmes de sûreté, absence de solutions quant aux tonnes de déchets radioactifs produits, dépendance à des États non démocratiques pour l’achat et le retraitement de l’uranium… Face aux crises sanitaires, écologiques et économiques, le nucléaire est incompatible avec un système énergétique sobre, sûr, résilient, local et renouvelable.
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