Moyenne

Ce sont entre 300 et 380 litres d’hypochlorite de sodium à 12,5 % qui se sont répandus dans l’environnement suite à une rupture de conduite.

La fuite a été évaluée à 6,8 litres/minute soit à un niveau supérieur à la limite réglementaire fixée à 3 l/m.

C’est un déclenchement turbine qui est à l’origine de l’arrêt du réacteur n° 2 qui était en cours de redémarrage. L’unité a été placée en arrêt à chaud, la chaleur du cœur étant retirée via le condenseur. C’est au moment de tests réalisés sur la protection du circuit que le problème s’est (...)

Alors que le réacteur était à 100 % de sa puissance, le confinement secondaire a diminué en dessous des spécifications techniques.

C’est lors de tests de surveillance que ces deux pompes ont été découvertes en panne.

Lors d’un relevé des paramètres de fonctionnement de l’installation, l’exploitant a constaté une surpression du volume gazeux de l’enceinte.

Le 9 juillet 2015, les techniciens de la centrale détectent un défaut de réglage sur des capteurs permettant de surveiller la puissance du réacteur de l’unité n° 4.

Le 8 juillet 2015, est réalisé un essai sur la turbine à combustion. Lors de cet essai, les techniciens constatent un défaut technique sur une cellule électrique.

Le 8 juillet 2015, un dégagement important de fumée a été constaté par un opérateur de l’atelier de fusion lors de l’introduction dans le four de fusion de charges de ferrailles broyées.

Le 7 juillet 2015, lors de la mise en service d’une des pompes de sauvegarde de refroidissement du circuit primaire, le niveau et la pression du réservoir d’eau dédié ont dépassé le seuil autorisé par les règles d’exploitation.