Stop à l’artificialisation des sols et à l’accaparement des terres agricoles par l’industrie nucléaire !
De janvier à mai 2025 a lieu le débat public sur le projet de nouveaux réacteurs nucléaires au Bugey. À l’occasion de la séance lyonnaise de ce débat, l’équipe du Réseau « Sortir du nucléaire » s’est mobilisée pour dénoncer les impacts engendrés par ce projet sur les terres rhône-alpiennes.
Le mercredi 19 février, la veille de la séance du débat, nous avons sillonné les rues lyonnaises pour faire une séance de collage de nos nouvelles affiches satiriques, en compagnie de militant·es de différents collectifs écologistes lyonnais👇️
À l’aide d’un QRcode, ces affiches invitent les personnes à rejoindre le mouvement et à signer notre nouvelle pétition adressée aux ministres de l’Agriculture et de la Transition écologique, les enjoignant à mettre fin aux partenariats entre les SAFER et les industriels du nucléaire. Vous aussi rejoignez le mouvement en la signant par ici.
Des affiches que vous pouvez également télécharger librement. Il ne vous reste plus qu’à les imprimer et les coller autour des lieux où se tiendront les prochaines séances du débat public ou à les faire tourner partout dans le Bugey, à Lyon et dans la région !
Le jeudi 20 février, l’équipe du Réseau « Sortir du nucléaire », en compagnie de militant·es antinucléaires du Bugey et de Greenpeace Lyon ont fait une deuxième session de collage à Vaulx-en-Velin, tout autour de la salle accueillant la séance du débat public.
Puis, devant le Pavillon de la Soie où se tenait la séance, nous avons dénoncé le non-sens de ce projet nucléaire aux côtés du groupe local de Greenpeace France, de Rhône-Alpes Sans Nucléaire et de Sortir Du Nucléaire Bugey. Deux grandes banderoles ont par la suite été déployées devant le Pavillon de la Soie où s’est tenue la séance lyonnaise du débat public. Elles clament : « 40 ans ça suffit, EPR non merci ! » et « Le Rhône se meurt, eau secours ». Des messages qui permettent de dénoncer les impacts de l’industrie nucléaire sur nos ressources en eau, et le problème de conflit qui risque de très rapidement faire surface quand on connaît la diminution du débit du Rhône.
Une action qui a attiré la presse locale :
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