Chooz B

Manque de coordination manifeste des activités d’EDF sur le réacteur 1 de la centrale nucléaire de Chooz (Grand Est). Avec pour conséquence la mise hors service en même temps durant deux jours de la moitié des pompes qui permettent le refroidissement en cas d’accident, mais aussi lors des (...)

EDF a découvert qu’à Cattenom, Chooz, Civaux et Golfech, les fusibles thermiques étaient soit trop gros - ce qui retarde le déclenchement des dispositifs de protection contre l’incendie - soit trop petits - ce qui bloque les filtres à iodes, empêchant tout filtrage des rejets radioactifs en (...)

Durant plus de 8 jours, le système qui permet d’isoler automatiquement la piscine de combustible nucléaire de la centrale de Chooz (Ardennes) en cas de fuite ne fonctionnait qu’en partie. À cause d’une erreur de l’exploitant. Une erreur détectée tardivement, après que du combustible ait été (...)

Dans 17 centrales nucléaires sur les 19 que compte la France, les tapis recouvrant le sol des vestiaires du personnel étaient radioactifs. On ne sait pas depuis combien de temps, ces tapis ne faisaient pas partie de la liste des équipements vérifiés par EDF.

Le 15 février 2020, une pièce est remplacée par les équipes de la centrale de Chooz (Grand Est). En utilisant une pièce pas tout à fait adaptée. Quatre jours plus tard, un problème survient.

En novembre 2019, 7 réacteurs étaient concernés. EDF vient d’en annoncer 16 de plus. Pour la moitié d’entre eux, les 2 moteurs diesels censés alimenter en électricité les systèmes de sauvegarde des réacteurs sont tellement dégradés qu’ils n’auraient pas résisté à un séisme.

C’est par la presse qu’on l’apprend : samedi 30 novembre 2019, une importante fuite d’acide chlorhydrique a eu lieu à la centrale nucléaire de Chooz (Grand Est), une substance est très toxique pour l’homme et pour l’environnement.

Malgré 5 mois d’arrêt et un "important programme de contrôles et de maintenance approfondis", c’est au redémarrage du réacteur 2 de la centrale nucléaire de Chooz (Ardennes) que les équipes ont réalisé que le débit d’injection d’eau au niveau des pompes du circuit primaire était trop faible (...)

Une petite découverte lourde de conséquences et qui en dit long. 52 des 58 réacteurs nucléaire français sont concernés : la ventilation et la surveillance atmosphérique des bâtiments réacteurs ne seraient pas assurées en cas de séisme, rendant tout confinement de la radioactivité impossible.

Mercredi 23 janvier 2019, un essai de fonctionnement est réalisé sur un des diesels de secours du réacteur 1 de Chooz (Ardennes). Le moteur diesel a alors pris feu. Les pompiers ont été appelés.