Un recours gracieux a été déposé par le CRILAN, puis par le Réseau "Sortir du nucléaire", à l’encontre de l’arrêté du 15 septembre 2010 homologuant la décision de l’ASN fixant les limites de rejets dans l’environnement pour la centrale nucléaire de Flamanville.
La centrale nucléaire de Flamanville se situe sur la commune de Flamanville (Manche), sur la côte Ouest de la péninsule du Cotentin, au pied d’une falaise granitique haute de 70 mètres, à 25 km à l’ouest de Cherbourg et à 20 km au sud de l’usine de retraitement de La Hague.
La centrale dispose de deux réacteurs nucléaires à eau pressurisée de 1 300 mégawatts chacun, mis en service en 1986 et 1987.
Une tête de série EPR (European Pressurized Reactor) est actuellement en construction sur ce site pour une mise en service initialement prévue en 2012, mais aujourd’hui repoussée à 2016.
Un arrêté du 15 septembre 2010 édicté par le Ministre chargé de la sûreté nucléaire a homologué la décision de l’ASN du 7 juillet 2010 fixant à Electricité de France les limites de rejets dans l’environnement des effluents liquides et gazeux pour l’exploitation des réacteurs « Flamanville 1 », « Flamanville 2 » et « Flamanville 3 » (voir la décision, en document joint).
Or, cet arrêté était entaché d’illégalité parce qu’il ne respectait notamment pas la Convention pour la protection du milieu marin de l’Atlantique du Nord-Est (Convention OSPAR) (voir la convention, en document joint).
La centrale nucléaire de Flamanville se situe sur la commune de Flamanville (Manche), sur la côte Ouest de la péninsule du Cotentin, au pied d’une falaise granitique haute de 70 mètres, à 25 km à l’ouest de Cherbourg et à 20 km au sud de l’usine de retraitement de La Hague.
La centrale dispose de deux réacteurs nucléaires à eau pressurisée de 1 300 mégawatts chacun, mis en service en 1986 et 1987.
Une tête de série EPR (European Pressurized Reactor) est actuellement en construction sur ce site pour une mise en service initialement prévue en 2012, mais aujourd’hui repoussée à 2016.
Un arrêté du 15 septembre 2010 édicté par le Ministre chargé de la sûreté nucléaire a homologué la décision de l’ASN du 7 juillet 2010 fixant à Electricité de France les limites de rejets dans l’environnement des effluents liquides et gazeux pour l’exploitation des réacteurs « Flamanville 1 », « Flamanville 2 » et « Flamanville 3 » (voir la décision, en document joint).
Or, cet arrêté était entaché d’illégalité parce qu’il ne respectait notamment pas la Convention pour la protection du milieu marin de l’Atlantique du Nord-Est (Convention OSPAR) (voir la convention, en document joint).
Nous attaquons chaque fois que nécessaire les industriels du nucléaire, pollueurs et menteurs, afin de lutter contre l'impunité dont ils font l'objet et faire barrage à leurs grands projets inutiles et dangereux. Et nous obtenons des résultats ! Mais cette action nous demande évidemment d’engager des moyens humains et financiers.
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