Europe

Le 22 octobre 2015, les inspecteurs de l’ASN ont relevé que l’exploitant ne réalisait pas les contrôles des instruments de mesure pour la radioprotection.

Plusieurs personnes travaillant au sein d’un laboratoire scientifique de l’Université de Bordeaux ont été irradiées par au moins un produit radioactif, stocké depuis plusieurs dizaines d’années dans les locaux.

A la suite du démarrage d’un des groupes électrogènes de secours du réacteur 1, EDF a constaté sur ce groupe une dégradation de quatre manchons compensateurs en élastomère du circuit d’eau de réfrigération basse température.

Lors d’une opération de reconditionnement de fûts contenant des matières uranifères, un écart de pesée par rapport à la prescription technique a été identifié sur deux fûts.

Le 14 octobre 2015, alors qu’un chantier était en cours dans le bâtiment combustible de l’unité n° 1, une balise de surveillance de la radioactivité ambiante dans le local s’est déclenchée.

Mardi 13 octobre 2015, vers 08h45, un dégagement de fumée a été détecté au sein du bâtiment réacteur de l’unité de production n° 2, actuellement arrêt pour maintenance.

Le 12 octobre 2015, lors des opérations de rechargement du combustible, l’intervention sur un clapet débute. Le chef d’exploitation détecte que la vanne associée au clapet est ouverte alors que l’intervention est en cours.

L’unité n° 1 a été déconnectée du réseau électrique le 12 octobre 2015 suite à l’arrêt de la turbine du groupe turbo-alternateur, située dans la partie non nucléaire de l’installation.

Le 9 octobre 2015 à 17 heures, une perte d’huile sur un réfrigérant du transformateur auxiliaire qui alimente en électricité l’unité de production n° 2 entraîne l’arrêt de ce matériel à 17h52.

Fin septembre, lors de la réalisation d’un essai sur l’unité de production n° 2, l’équipe intervenante s’interroge sur la validité d’un critère de l’essai.