PARIS - Les délais de construction exagérément optimistes fixés pour la construction des réacteurs nucléaires de troisième génération EPR à Olkiluoto (Finlande) et à Flamanville (Manche) expliquent en grande partie les retards pris par ces deux chantiers.
L’EPR d’Olkiluoto, mené par Areva, démarrera avec près de 4 ans de retard, a annoncé le groupe nucléaire lundi. Celui de Flamanville, dirigé par EDF, nécessiterait deux ans de plus que prévu, selon la presse et les syndicats.
Si ces (...)