Depuis 55 ans, les déchets de la production de 500 000 t de tétrafluorure d’uranium sur le site narbonnais d’AREVA NC Malvési sont stockés en bassins de décantation et d’évaporation. AREVA NC Malvési (classée ICPE SEVESO) envisage maintenant de traiter les 350 000 m3 d’effluents stockés, concentrés notamment en nitrate (jusqu’à 800 g/l), en minéraux, métaux et radionucléides.
Malgré l’accumulation des mauvais points environnementaux : pollution atmosphérique, GES, consommation ressources et incertitudes sur les performances de ce projet à 80 millions d’euros, le préfet de Région, l’ANDRA, les services chargés de l’environnement et des installations industrielles, les élus locaux, …, ont donné le feu vert pour l’enquête publique.
Le Réseau "Sortir du nucléaire" se joint aux associations et collectifs locaux et s’oppose à ce nouveau projet sur le site Orano Malvési à Narbonne qui est, en réalité, un incinérateur de déchets radioactifs qui ne dit pas son nom.
Lettre adressée au préfet qui souligne une des nombreuses lacunes de l’enquête publique et du dossier TDN AREVA
Un conseil municipal exceptionnel s’est tenu le 6 avril à la mairie de Narbonne au sujet du projet TDN-Thor d’Areva Malvési.
Le commissaire enquêteur vient de rendre ses conclusions au sujet de l’enquête publique sur le projet de traitement des nitrates d’AREVA Malvési. Les éléments de réponse d’AREVA ne sont pas non plus satisfaisants et méritent quelques mises au point.
Enquête publique de demande d’autorisation d’exploitation d’une installation ICPE de traitement des nitrates des effluents de production de tétrafluorure d’uranium AREVA NC Narbonne (Malvési)
Depuis 55 ans, les déchets de la production de 500 000 t de tétrafluorure d’uranium sur le site narbonnais d’AREVA NC Malvési sont stockés en bassins de décantation et d’évaporation. AREVA NC Malvési (classée ICPE SEVESO) envisage maintenant de traiter les 350 000 m3 d’effluents stockés, concentrés notamment en nitrate (jusqu’à 800 g/l), en minéraux, métaux et radionucléides.
Malgré l’accumulation des mauvais points environnementaux : pollution atmosphérique, GES, consommation ressources et incertitudes sur les performances de ce projet à 80 millions d’euros, le préfet de Région, l’ANDRA, les services chargés de l’environnement et des installations industrielles, les élus locaux, …, ont donné le feu vert pour l’enquête publique.
Le Réseau "Sortir du nucléaire" se joint aux associations et collectifs locaux et s’oppose à ce nouveau projet sur le site Orano Malvési à Narbonne qui est, en réalité, un incinérateur de déchets radioactifs qui ne dit pas son nom.