Flamanville

Une erreur commise le 17 avril 2018 vient d’être déclarée : une vanne a été ouverte en zone nucléaire du réacteur 1. Ou quand ceux qui s’occupent des centrales nucléaires n’en connaissent pas les règles les plus élémentaires.

Les problèmes de l’EPR ne sont plus un secret pour personne. Depuis 10 ans, le chantier de ce projet censé être la vitrine du "savoir-faire" d’EDF cumule les déboires : problèmes de confection des bétons, des soudures et des tuyauteries, défauts d’étanchéité, travail illégal, coûts multiplié (...)

Ce 10 avril 2018, EDF a annoncé que de nouveaux défauts ont été détectés dans les soudures du circuit secondaire du réacteur EPR de Flamanville. Ces soudures avaient pourtant été contrôlées et déclarées conformes.

Le 30 novembre 2017, Pierre-Franck Chevet, président de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), tire la sonnette d’alarme : le contexte en matière de sûreté est préoccupant à moyen terme. Malgré l’impasse évidente de la filière nucléaire, de nouvelles installations sont prévues. Mais "force est (...)

Le réacteur 1 de Flamanville s’est arrêté automatiquement le 6 avril 2018 au petit matin, alors qu’il était en montée de puissance. En effet, depuis l’arrêt automatique du 15 mars, l’exploitant semble avoir le plus grand mal à le faire fonctionner.

Lundi 2 avril 2018, 3 travailleurs ont été contaminés alors qu’ils découpaient une tuyauterie en zone nucléaire du réacteur 1, réacteur qui n’a toujours pas redémarré depuis qu’il s’est arrêté automatiquement le 15 mars.

On l’apprend par les médias le 21 mars 2018 : mi février des informations confidentielles concernant 3 sites nucléaires ont été volées. Un badge d’accès à la centrale de Cattenom et un ordinateur portable ont également été dérobés.

Conférence de Naoto Kan, ancien Premier Ministre japonais, en responsabilité au moment de la catastrophe de Fukushima en mars 2011. Le CRILAN et le Can-Ouest accueilleront jeudi 15 mars Naoto Kan, premier ministre du Japon au moment de la catastrophe de Fukushima qui a débuté il y a 7 ans. (...)

Le réacteur 1 de la centrale nucléaire de Flamanville s’est arrêté automatiquement le 15 mars 2018, alors que les équipes devaient l’isolé du réseau électrique et en diminuer la puissance. C’est le 3ème arrêt de ce réacteur en seulement 5 jours.

Le 30 novembre 2017, Pierre-Franck Chevet, président de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), tire la sonnette d’alarme : le contexte en matière de sûreté est préoccupant à moyen terme. Malgré l’impasse évidente de la filière nucléaire, de nouvelles installations sont prévues. Mais "Force est (...)