Bénéfices en berne et ambitions en hausse pour le géant sidérurgique : malgré une chute de 9 % de son résultat en 2008, le groupe se dit prêt à investir dans la construction du deuxième réacteur nucléaire de troisième génération.
"Si les industriels sont invités au tour de table de l’EPR, ce serait de nature à nous intéresser". Le message d’un des responsables d’ArcelorMittal ne peut être plus clair : le groupe suit de près le projet de construction du second EPR à Penly (...)