Transports

En seulement quelques mois, un chauffeur en formation dans une société de transports de matières dangereuses a été exposé à plus de rayonnements ionisants que le maximum autorisé en un an. L’origine de cette surexposition reste inconnue.

La société Impact Logistics, qui s’occupe de transporter des substances radioactives, a déclaré fin avril 2020 que 2 de ses chauffeurs ont été trop exposés aux rayonnements. Les salariés portaient pourtant des dosimètres qui étaient analysés chaque mois.

Le 4 mai 2020, un accident a eu lieu sur l’autoroute A13 en Île de France (78), impliquant un véhicule transportant des matières hautement radioactives. Étant donné la nature du chargement, les pompiers ont fait appel à l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN).

Un conducteur, employé en sous-traitance par la société ISOLife (Essonne), a été irradié par des colis radioactifs. En un an, il a reçu plus que la dose maximale autorisée pour les travailleurs du nucléaire, qui est déjà 20 fois supérieure à celle établie pour le grand public.

La centrale nucléaire du Tricastin a expédié et transporté sur la voie publique une pièce hautement radioactive (débit d’équivalent de dose au contact : 5,6 Sv/h) dans un emballage pour pièces faiblement contaminées.

Rejet du référé-liberté déposé contre un convoi de déchets hautement radioactifs italien vers La Hague.

L’audience en appel a eu lieu le 19 novembre 2015, à la Cour administrative d’appel de Versailles. Celle-ci a confirmé le rejet de notre recours.

L’audience en appel a eu lieu le 19 novembre 2015, à la Cour administrative d’appel de Versailles. Celle-ci a confirmé le rejet de notre recours.

Rejet du recours déposé contre l’autorisation d’exécution de ce convoi après maintes rebondissements.