PARIS (France) - Le projet de loi Nome (Nouvelle organisation du marché de l’électricité), qui va obliger EDF à vendre un quart de sa production nucléaire à ses concurrents, est "une mauvaise réponse à une vraie question", a affirmé mardi le PDG d’EDF Henri Proglio.
"La loi Nome est issue d’une mauvaise interprétation des souhaits de Bruxelles et donc d’une mauvaise réponse à une vraie question", a-t-il déclaré au cours d’un colloque de l’Union française de l’électricité.
"Les demandes (...)