enquête
Le débat ouvert lors de la négociation sur les « stress tests » européens post Fukushima remet en lumière une interrogation locale sur un « risque terroriste » .
Alexis Calafat le reconnaît : « je ne peux m’empêcher d’y penser à chaque fois que je vois le vol Paris-Agen (1) survoler ma maison et donc passer à proximité de la centrale ». Penser à quoi ? « à l’accident ou plus encore à l’acte de malveillance. »
En France, nucléaire et terrorisme n’ont jamais fait bon ménage en (...)