Emilie Torgemen
Kamaishi (Japon), juin 2011. Naoto Kan, alors Premier ministre japonais (au centre), sur les zones sinistrées de cette ville portuaire frappée par le tsunami trois mois plus tôt. AFP/JIJI PRESS
Il y a sept ans jour pour jour, pendant la catastrophe nucléaire de Fukushima, Naoto Kan était le Premier ministre du Japon. Depuis sa vie et ses convictions ont bien changé. Il vient en France ce lundi pour porter un message.
« Si tout se passe mal, un accident nucléaire (...)