Le 26 juillet, Jacques Chirac a répondu aux jeûneurs. Le Président manie une
fois de plus la langue de bois et nous renvoie aux procédures
administratives mises en place par les hauts fonctionnaires pour justifier
le processus démocratique du choix de la relance d’un programme nucléaire.
Un processus réellement démocratique tiendrait compte de la réalité : 60 %
des Français sont contre et 20 % sont pour un nouveau réacteur, comme le
montre les enquêtes du ministère de (...)