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Des travailleurs portugais d’origine africaine étaient employés sur le réacteur Jules-Horowitz, dans des conditions proches de l’esclavage.
Le 12 mai 2010, un groupe de neuf salariés portugais est venu frapper à la porte de l’union locale (UL) CGT de Manosque (Alpes-de-Haute-Provence) pour demander de l’aide.
Ils avaient de grosses difficultés à s’exprimer même en portugais car ils étaient tous originaires d’Afrique : huit de Guinée Bissau et un de Gambie.
Ainsi (...)