Entretien avec Hubert Falco, 8/2/2008 (extraits)
Est-ce qu’aujourd’hui vous rebâtiriez le Palais des Sports à l’endroit où il se trouve, dans un périmètre d’urgence nucléaire ?
Oui. Je n’ai aucun regret. Ces périmètres d’urgence définis par l’État — je pense aussi à la Pyrotechnie —, je me dis que peut-être il faudrait les revoir. Vous savez, si malheureusement on avait un incident nucléaire, les gens seraient plus en sécurité au Palais des sports qu’à Pignans, à Brignoles, au Faron ou (...)