Les ennemis de nos ennemis ne sont pas nécessairement nos amis. Les Américains ont eu plus d’une occasion de s’en apercevoir. Notamment avec Staline, qu’en 1945 Roosevelt voyait en toute candeur devenir un "gentleman chrétien". De même avec les talibans, qu’ils ont armés jusqu’aux dents pour leur permettre de chasser les Soviétiques d’Afghanistan, ce qui n’a pas peu contribué à la décomposition de l’empire rouge.
Ils ne se doutaient pas qu’ils faisaient ainsi le lit de ce terrorisme (...)
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