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poisson d’avril

Article publié le 1er avril 2016





Et non, hélas non ! Ces trois exemples « cocorico », et il y en a d’autres, ne sont pas en mesure de nous rassurer sur la sortie du nucléaire. A contrario ils doivent nous alerter sur la vision et les capacités des décideurs et experts ministériels à évaluer la technologie et ses potentialités. Plus grave, si ce n’est pas un problème de capacité intellectuelle, alors c’est du bon vieux lavage de cerveau et il tente encore une fois de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.

Nos élites se répandent sur ces merveilles à l’occasion des grandes messes et salons internationaux, suscitant nombre de commentaires railleurs venus de l’extérieur de l’hexagone, parfois au travers de démonstrations technico-humoristiques qui devraient ouvrir les yeux des citoyens français faute d’ouvrir ceux des ministres présents/passés. Alors que l’on scrute maintenant dans tout projet qui se veut de la famille renouvelable les aspects recyclage, énergie grise, conséquences extractives, dangers environnementaux, retour sur investissement (incontournable même pour les plus vertueux projets), en bref le cycle de vie.

On fait face dans ces trois exemples à la négation de la plupart des critères. Un pays comme l’Allemagne à mis en place une production d’énergie renouvelable conséquente sans s’enticher de ces hochets « cocorico ». Hochets auxquels il faut adjoindre le Linky supposé résoudre tous les problèmes d’intégration d’un renouvelable que nous attendrons encore longtemps si nous comptons sur le beau poème des fleurettes tournesol, du vent dans les arbres et la route pavée de bonnes intentions de monsieur Bouygues, poème qui nous mènera encore plus sûrement dans le mur nucléaire.

Oui, avec eux, la lumière au bout du tunnel, c’est un « pika » nucléaire.

Distraction utile (sous titres disponibles sur youtube) :

Hubert Cros et le facteur de rezo-actu

Et non, hélas non ! Ces trois exemples « cocorico », et il y en a d’autres, ne sont pas en mesure de nous rassurer sur la sortie du nucléaire. A contrario ils doivent nous alerter sur la vision et les capacités des décideurs et experts ministériels à évaluer la technologie et ses potentialités. Plus grave, si ce n’est pas un problème de capacité intellectuelle, alors c’est du bon vieux lavage de cerveau et il tente encore une fois de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.

Nos élites se répandent sur ces merveilles à l’occasion des grandes messes et salons internationaux, suscitant nombre de commentaires railleurs venus de l’extérieur de l’hexagone, parfois au travers de démonstrations technico-humoristiques qui devraient ouvrir les yeux des citoyens français faute d’ouvrir ceux des ministres présents/passés. Alors que l’on scrute maintenant dans tout projet qui se veut de la famille renouvelable les aspects recyclage, énergie grise, conséquences extractives, dangers environnementaux, retour sur investissement (incontournable même pour les plus vertueux projets), en bref le cycle de vie.

On fait face dans ces trois exemples à la négation de la plupart des critères. Un pays comme l’Allemagne à mis en place une production d’énergie renouvelable conséquente sans s’enticher de ces hochets « cocorico ». Hochets auxquels il faut adjoindre le Linky supposé résoudre tous les problèmes d’intégration d’un renouvelable que nous attendrons encore longtemps si nous comptons sur le beau poème des fleurettes tournesol, du vent dans les arbres et la route pavée de bonnes intentions de monsieur Bouygues, poème qui nous mènera encore plus sûrement dans le mur nucléaire.

Oui, avec eux, la lumière au bout du tunnel, c’est un « pika » nucléaire.

Distraction utile (sous titres disponibles sur youtube) :

Hubert Cros et le facteur de rezo-actu