Des touristes arpentent une rue de Pripiat le 23 avril 2018, ville fantôme située à deux kilomètres de la centrale de Tchernobyl. / (c) AFP / Sergei SUPINSKY
Natalia caresse du regard les murs décrépis mais ne touche à rien, par peur des radiations, tandis que des larmes coulent sur ses joues : 32 ans après la catastrophe de Tchernobyl, elle est de retour chez elle, dans la ville fantôme de Pripyat.
(c)AFP / 26 avril 2018 14h08
"Entrez et soyez les bienvenus, c'est (...)