Conférences - Débats
Soirée débat : "L’état du parc nucléaire en France, les dangers pour notre santé et notre alimentation !"
Epône (78) - Ile-de-France
Vendredi 20 avril 2018
Soirée animée par Roland Desbordes, Président de la Criirad au magasin Biocoop 6, avenue de la Mauldre EPÔNE . UNE SOIREE A NE PAS MANQUER
Les institutionnels du nucléaire français reconnaissent maintenant qu’un accident majeur est possible en France (alors que cela n’avait jamais été évoqué auparavant...on est pourtant déjà passé à deux doigts de la catastrophe en 1999 à la centrale de Blaye) Localement entre les centrales de Paluel et Penly en Normandie avec le site de retraitement de la Hague, l’EPR de Flamanville, les centrales de la Loire et un nouveau centre type la Hague prévu à Belleville sur Loire, la centrale de Nogent sur Seine, Bures que Macron voudrait faire passer en force (déjà l’évacuation des opposants en mars), l’Ile de France avec ses 19% de la population française n’est pas à l’abri. Alors ! que cela présage-t’il pour notre santé, notre alimentation, nos agriculteurs bio, notre économie "durable"...notre porte-monnaie ? Nous savons en plus qu’il n’est pas possible de faire confiance aux acteurs du nucléaire. Lors d’un accident à la centrale de Golfech en octobre 2016, la centrale a mis 5 jours avant d’en parler. Depuis l’automne 2017 une pollution sérieuse de Ruthénium nous est arrivée de l’Est (sans doute de la Russie). Ni les instances étatiques comme nucléaires, encore moins la Russie, l’OMS, L’AIEA, ne communiquent exactement sur le sujet, voire tronquent des données délibérément.
Tout le monde se tait et fait le mort. En attendant nous avons encore une fois été arrosé. Il est donc urgent de faire un point, citoyens que nous sommes et de se poser la question de l’installation d’une balise indépendante de la radioactivité en Ile de France pour pallier aux mensonges, retard d’information et donc de réaction quant à de futures pollutions. C’est un dossier à étudier. Je verrais bien une balise sur le toit de la Biocoop d’Epône. Mais un long et coûteux chemin nous obligerait à travailler avec des associations, communes, habitants du Mantois et d’ailleurs, pour monter éventuellement un dossier... avec la Criirad
Les institutionnels du nucléaire français reconnaissent maintenant qu’un accident majeur est possible en France (alors que cela n’avait jamais été évoqué auparavant...on est pourtant déjà passé à deux doigts de la catastrophe en 1999 à la centrale de Blaye) Localement entre les centrales de Paluel et Penly en Normandie avec le site de retraitement de la Hague, l’EPR de Flamanville, les centrales de la Loire et un nouveau centre type la Hague prévu à Belleville sur Loire, la centrale de Nogent sur Seine, Bures que Macron voudrait faire passer en force (déjà l’évacuation des opposants en mars), l’Ile de France avec ses 19% de la population française n’est pas à l’abri. Alors ! que cela présage-t’il pour notre santé, notre alimentation, nos agriculteurs bio, notre économie "durable"...notre porte-monnaie ? Nous savons en plus qu’il n’est pas possible de faire confiance aux acteurs du nucléaire. Lors d’un accident à la centrale de Golfech en octobre 2016, la centrale a mis 5 jours avant d’en parler. Depuis l’automne 2017 une pollution sérieuse de Ruthénium nous est arrivée de l’Est (sans doute de la Russie). Ni les instances étatiques comme nucléaires, encore moins la Russie, l’OMS, L’AIEA, ne communiquent exactement sur le sujet, voire tronquent des données délibérément.
Tout le monde se tait et fait le mort. En attendant nous avons encore une fois été arrosé. Il est donc urgent de faire un point, citoyens que nous sommes et de se poser la question de l’installation d’une balise indépendante de la radioactivité en Ile de France pour pallier aux mensonges, retard d’information et donc de réaction quant à de futures pollutions. C’est un dossier à étudier. Je verrais bien une balise sur le toit de la Biocoop d’Epône. Mais un long et coûteux chemin nous obligerait à travailler avec des associations, communes, habitants du Mantois et d’ailleurs, pour monter éventuellement un dossier... avec la Criirad
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