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Nos communiqués de presse

Samedi 6 août : les 60 ans d’Hiroshima - Le Réseau "Sortir du nucléaire" dénonce les armes atomiques et le Laser Mégajoule

Communiqué du 4 août 2005



La France responsable de la prolifération nucléaire au Moyen-Orient
Actions dans le Sud-Ouest et en Bretagne

A l’occasion des 60 ans des bombardements atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki (6 et 9 août), le Réseau "Sortir du nucléaire" et de nombreuses autres associations agissent pour la Paix et pour la dénucléarisation de la planète.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" rappelle qu’une des pires tares de l’industrie nucléaire dite "civile" est de produire de l’uranium enrichi et du plutonium, les deux matières permettant de fabriquer des bombes atomiques. Le réacteur nucléaire EPR, qu’Areva veut construire en France mais aussi exporter, est lui-même vecteur de prolifération nucléaire.

Par ailleurs, le Réseau "Sortir du nucléaire" dénonce la politique de prolifération nucléaire mise en œuvre pendant des années au Proche-Orient par la France, laquelle a considérablement aidé Israël… tout en fournissant aussi l’Irak de Saddam Hussein et l’Iran, lequel est aujourd’hui encore actionnaire à 10% de l’usine française d’enrichissement d’uranium située à Pierrelatte (Drôme).

- Samedi 6 août - Gironde
Le Réseau "Sortir du nucléaire" et plusieurs associations organisent une journée d’action devant le Laser Mégajoule. Cette installation pharaonique, en construction au Barp (Gironde), doit permettre à l’armée française de simuler les essais nucléaires auparavant réalisés en Algérie puis dans le Pacifique, et d’essayer de mettre au point une nouvelle génération de bombes atomiques, les "mini-nukes" qui seront destinées à être réellement utilisées au cours de conflits. Ce sera la porte ouverte à la destruction de la planète. La construction du Mégajoule viole le Traité de non-prolifération, que la France a ratifié en 1992, et relance la course aux armements nucléaires.

- Samedi 6 et dimanche 7 août - Bretagne
Sortir du nucléaire Cornouaille, AE2D Brest, et la flottille Rade de Brest pour une mer propre organisent deux journées d’action contre la relance des programmes nucléaires militaires français, notamment dans la presqu’île de Crozon et la rade de Brest (Ile Longue, site de Gwenvenez) par la préparation de nouveaux missiles (M 51) et de nouvelles têtes nucléaires destinées aux SNLE (sous-marins nucléaires lanceurs d’engins). Les associations rappellent que, sur le site de l’Ile Longue, est concentrée 90% de la force de dissuasion nucléaire de la France, soit près de 290 têtes nucléaires (plus de 2000 fois la puissance de la bombe atomique lâchée sur Hiroshima ).

- Samedi 6 et mardi 9 août - Lot
Sortir du nucléaire - Lot et de nombreuses associations organisent deux journées plus spécialement consacrées aux armes à l’uranium appauvri. Ce déchet radioactif et pyrophorique (il s’enflamme à l’air), utilisé dans les flèches de munitions, provoque une pollution des sols pour des milliards d’années, une dispersion irréversible dans l’atmosphère terrestre de particules microscopiques d’uranium et une contamination des êtres vivants entraînant cancers, leucémies, mutations génétiques et naissances monstrueuses chez les populations locales ainsi qu’à l’échelle planétaire. Le CEG de Gramat (Lot) contribue à la mise au point d’armes nucléaires et électromagnétiques.

60 ans après Hiroshima et Nagasaki, l’industrie nucléaire civile et militaire, particulièrement en France, semble n’avoir d’autre objectif que de détruire la Terre. Il est encore temps pour les citoyens de tous les pays d’imposer la Paix et la dénucléarisation de la planète.

La France responsable de la prolifération nucléaire au Moyen-Orient
Actions dans le Sud-Ouest et en Bretagne

A l’occasion des 60 ans des bombardements atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki (6 et 9 août), le Réseau "Sortir du nucléaire" et de nombreuses autres associations agissent pour la Paix et pour la dénucléarisation de la planète.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" rappelle qu’une des pires tares de l’industrie nucléaire dite "civile" est de produire de l’uranium enrichi et du plutonium, les deux matières permettant de fabriquer des bombes atomiques. Le réacteur nucléaire EPR, qu’Areva veut construire en France mais aussi exporter, est lui-même vecteur de prolifération nucléaire.

Par ailleurs, le Réseau "Sortir du nucléaire" dénonce la politique de prolifération nucléaire mise en œuvre pendant des années au Proche-Orient par la France, laquelle a considérablement aidé Israël… tout en fournissant aussi l’Irak de Saddam Hussein et l’Iran, lequel est aujourd’hui encore actionnaire à 10% de l’usine française d’enrichissement d’uranium située à Pierrelatte (Drôme).

- Samedi 6 août - Gironde
Le Réseau "Sortir du nucléaire" et plusieurs associations organisent une journée d’action devant le Laser Mégajoule. Cette installation pharaonique, en construction au Barp (Gironde), doit permettre à l’armée française de simuler les essais nucléaires auparavant réalisés en Algérie puis dans le Pacifique, et d’essayer de mettre au point une nouvelle génération de bombes atomiques, les "mini-nukes" qui seront destinées à être réellement utilisées au cours de conflits. Ce sera la porte ouverte à la destruction de la planète. La construction du Mégajoule viole le Traité de non-prolifération, que la France a ratifié en 1992, et relance la course aux armements nucléaires.

- Samedi 6 et dimanche 7 août - Bretagne
Sortir du nucléaire Cornouaille, AE2D Brest, et la flottille Rade de Brest pour une mer propre organisent deux journées d’action contre la relance des programmes nucléaires militaires français, notamment dans la presqu’île de Crozon et la rade de Brest (Ile Longue, site de Gwenvenez) par la préparation de nouveaux missiles (M 51) et de nouvelles têtes nucléaires destinées aux SNLE (sous-marins nucléaires lanceurs d’engins). Les associations rappellent que, sur le site de l’Ile Longue, est concentrée 90% de la force de dissuasion nucléaire de la France, soit près de 290 têtes nucléaires (plus de 2000 fois la puissance de la bombe atomique lâchée sur Hiroshima ).

- Samedi 6 et mardi 9 août - Lot
Sortir du nucléaire - Lot et de nombreuses associations organisent deux journées plus spécialement consacrées aux armes à l’uranium appauvri. Ce déchet radioactif et pyrophorique (il s’enflamme à l’air), utilisé dans les flèches de munitions, provoque une pollution des sols pour des milliards d’années, une dispersion irréversible dans l’atmosphère terrestre de particules microscopiques d’uranium et une contamination des êtres vivants entraînant cancers, leucémies, mutations génétiques et naissances monstrueuses chez les populations locales ainsi qu’à l’échelle planétaire. Le CEG de Gramat (Lot) contribue à la mise au point d’armes nucléaires et électromagnétiques.

60 ans après Hiroshima et Nagasaki, l’industrie nucléaire civile et militaire, particulièrement en France, semble n’avoir d’autre objectif que de détruire la Terre. Il est encore temps pour les citoyens de tous les pays d’imposer la Paix et la dénucléarisation de la planète.


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 Nucléaire militaire