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3
oct
Conférences - Débats

Réunion publique d’information : Le tritium, quels dangers ?

Jouques (84) - Provence-Alpes-Côte d’Azur


Vendredi 3 octobre 2008


De 17h à 20h, au Foyer socioculturel de Jouques (84) (Sortie du village, Départementale 11, direction St Paul-lez-Durance).

Réunion organisée par l’ASN (Autorité de sûreté nucléaire) et la Commune de Jouques.
VENEZ NOMBREUX !
Bien qu’organisé par l’ASN (Autorité de sûreté nucléaire ) dont la dépendance et la collaboration avec l’ensemble de l’industrie nucléaire n’est plus à démontrer, il est important de venir à cette réunion afin de poser des questions, d’exprimer vos craintes et refus de cette industrie nucléaire qui est une terrible menace pour nos vies et celles des générations futures.
Heureusement qu’il y aura la CRIIRAD parmi les intervenants, seule commission réellement indépendante, et qui fournit un travail de grande qualité.

Contact :
Médiane : 04 90 07 30 92
a.mediane@free.fr

Quelques infos sur le tritium :

Le tritium est un gaz radioactif dangereux qui a une demie-vie de 12,3 ans. La disparition totale théorique de sa radioactivité est de 200 ans.

Les installations nucléaires ne cessent d’en rejeter involontairement dans l’atmosphère. Le tritium pose un problème énorme pour l’industrie qui le crée car il est difficile à stocker et a la fâcheuse propriété de fuir quel que soit la nature du récipient qui essaie de le retenir (caoutchouc, diverses qualités d’acier, ...) et il s’en va contaminer les nappes phréatiques.

Les installations nucléaires rejettent le tritium sous forme de gaz et d’eau tritiée qui peuvent contaminer la chaîne alimentaire et se fixer dans l’organisme.

Le tritium pénètre dans l’être humain et les animaux par aspiration, absorption à travers la peau ou par ingestion. Inhalé, il se répand de façon égale dans les tissus mous, l’eau tritiée se mêle rapidement à toute l’eau du corps. D’après certaines études le tritium se concentrant dans l’ADN peut causer des dégâts génétiques.

Certes il existe naturellement en petite quantité dans la haute atmosphère. Mais, en plus des installations nucléaires, ce sont les essais thermonucléaires qui ont multiplié par cent environ cette quantité de tritium. Le tritium est, en utilisant des masses infimes, l’un des ingrédients principaux des armes nucléaires.

Quant au réacteur lTER, il utilisera un mélange de deutérium et de tritium pour son fonctionnement. Il va donc falloir avant tout que le seuil actuel de rejets de tritium soit largement rehaussé. D’ou la nécessité pour les exploitants de convaincre les populations et les travailleurs que le tritium est sans danger.

Le nucléaire, la fusion comme la fission, est une énergie sale ! Il serait urgent d’assainir et de dénucléariser le centre de Cadarache tout entier pour le transformer en centre de recherche sur les énergies renouvelables, qui sont les seules vraies énergies du futur.

Un cocktail "tritié" vous sera offert en fin de réunion.... Il faut savoir que le tritium s’accumule particulièrement bien dans le raisin (la pulpe)

De 17h à 20h, au Foyer socioculturel de Jouques (84) (Sortie du village, Départementale 11, direction St Paul-lez-Durance).

Réunion organisée par l’ASN (Autorité de sûreté nucléaire) et la Commune de Jouques.
VENEZ NOMBREUX !
Bien qu’organisé par l’ASN (Autorité de sûreté nucléaire ) dont la dépendance et la collaboration avec l’ensemble de l’industrie nucléaire n’est plus à démontrer, il est important de venir à cette réunion afin de poser des questions, d’exprimer vos craintes et refus de cette industrie nucléaire qui est une terrible menace pour nos vies et celles des générations futures.
Heureusement qu’il y aura la CRIIRAD parmi les intervenants, seule commission réellement indépendante, et qui fournit un travail de grande qualité.

Contact :
Médiane : 04 90 07 30 92
a.mediane@free.fr

Quelques infos sur le tritium :

Le tritium est un gaz radioactif dangereux qui a une demie-vie de 12,3 ans. La disparition totale théorique de sa radioactivité est de 200 ans.

Les installations nucléaires ne cessent d’en rejeter involontairement dans l’atmosphère. Le tritium pose un problème énorme pour l’industrie qui le crée car il est difficile à stocker et a la fâcheuse propriété de fuir quel que soit la nature du récipient qui essaie de le retenir (caoutchouc, diverses qualités d’acier, ...) et il s’en va contaminer les nappes phréatiques.

Les installations nucléaires rejettent le tritium sous forme de gaz et d’eau tritiée qui peuvent contaminer la chaîne alimentaire et se fixer dans l’organisme.

Le tritium pénètre dans l’être humain et les animaux par aspiration, absorption à travers la peau ou par ingestion. Inhalé, il se répand de façon égale dans les tissus mous, l’eau tritiée se mêle rapidement à toute l’eau du corps. D’après certaines études le tritium se concentrant dans l’ADN peut causer des dégâts génétiques.

Certes il existe naturellement en petite quantité dans la haute atmosphère. Mais, en plus des installations nucléaires, ce sont les essais thermonucléaires qui ont multiplié par cent environ cette quantité de tritium. Le tritium est, en utilisant des masses infimes, l’un des ingrédients principaux des armes nucléaires.

Quant au réacteur lTER, il utilisera un mélange de deutérium et de tritium pour son fonctionnement. Il va donc falloir avant tout que le seuil actuel de rejets de tritium soit largement rehaussé. D’ou la nécessité pour les exploitants de convaincre les populations et les travailleurs que le tritium est sans danger.

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