L’exploitation du nucléaire a conduit dans l’histoire à de nombreuses atteintes aux droits humains des populations civiles. Aujourd’hui encore le nucléaire s’impose par la force dans le cas de nombreux projets alors même que ceux qui s’y opposent sont parfois traqués au mépris des libertés les plus élémentaires.
Exploitation d’uranium, conséquences sur la santé des populations locales
L’extraction de l’uranium dans les mines engendre la dispersion de poussières radioactives et de gaz radon et l’entreposage de tonnes de déchets à l’air libre. Dans les régions minières, on retrouve des niveaux de radioactivité dans l’air et les sols très supérieurs à la normale. Les mineurs et les populations locales sont donc confrontés à des risques sanitaires majeurs : inhaler ou ingérer ces poussières peut provoquer un cancer mortel du poumon, mais dans de nombreuses régions minières, peu d’hôpitaux sont à même de diagnostiquer un cancer.
Au Gabon et au Niger
À Mounana au Gabon, AREVA a cessé les activités de sa filiale, la COMUF, en 1999. Sur place, une pollution radioactive des sols et des maisons construites avec des stériles miniers provoque de nombreuses maladies. À Arlit, au nord du Niger, AREVA exploite deux mines depuis quarante ans. On relève aux alentours les mêmes effets : des mineurs locaux et des expatriés souffrent principalement de cancers des poumons. Pendant 18 mois, Dominique HENNEQUIN et Pascal LORENT ont enquêté sur les conséquences de l’exploitation de l’uranium au Gabon et au Niger et rapporté des images exclusives.
Le Niger éclaire au moins une ampoule française sur cinq, grâce à l’uranium extrait de son sous-sol. La compagnie française Areva exploite l’uranium nigérien à partir de deux mines situées dans la région d’Arlit. Pendant ce temps, comme le montre ce reportage d’Himadou Amadou, des ex-employés d’Areva se plaignent de diverses maladies qu’ils imputent aux activités d’extraction d’uranium.
Dans le document « Areva : du discours à la réalité : l’exemple des mines d’uranium au Niger », la CRIIRAD, présente les activités d’Areva au Niger, et mène l’enquête sur les sites d’exploitations, et l’atteinte engendrée au bien être des populations locales.
Areva : du discours à la réalité : l’exemple des mines d’uranium au Niger
L’extraction de l’uranium dans les mines engendre la dispersion de poussières radioactives et de gaz radon et l’entreposage de tonnes de déchets à l’air libre. Dans les régions minières, on retrouve des niveaux de radioactivité dans l’air et les sols très supérieurs à la normale. Les mineurs et les populations locales sont donc confrontés à des risques sanitaires majeurs : inhaler ou ingérer ces poussières peut provoquer un cancer mortel du poumon, mais dans de nombreuses régions minières, peu d’hôpitaux sont à même de diagnostiquer un cancer.
Au Gabon et au Niger
À Mounana au Gabon, AREVA a cessé les activités de sa filiale, la COMUF, en 1999. Sur place, une pollution radioactive des sols et des maisons construites avec des stériles miniers provoque de nombreuses maladies. À Arlit, au nord du Niger, AREVA exploite deux mines depuis quarante ans. On relève aux alentours les mêmes effets : des mineurs locaux et des expatriés souffrent principalement de cancers des poumons. Pendant 18 mois, Dominique HENNEQUIN et Pascal LORENT ont enquêté sur les conséquences de l’exploitation de l’uranium au Gabon et au Niger et rapporté des images exclusives.
Le Niger éclaire au moins une ampoule française sur cinq, grâce à l’uranium extrait de son sous-sol. La compagnie française Areva exploite l’uranium nigérien à partir de deux mines situées dans la région d’Arlit. Pendant ce temps, comme le montre ce reportage d’Himadou Amadou, des ex-employés d’Areva se plaignent de diverses maladies qu’ils imputent aux activités d’extraction d’uranium.
Dans le document « Areva : du discours à la réalité : l’exemple des mines d’uranium au Niger », la CRIIRAD, présente les activités d’Areva au Niger, et mène l’enquête sur les sites d’exploitations, et l’atteinte engendrée au bien être des populations locales.
Areva : du discours à la réalité : l’exemple des mines d’uranium au Niger
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