L’entreprise nationale cajole Pékin mais les Etats-unis sont à l’affût.
Par Pierre HASKI
Pékin de notre correspondant
EDF ne lésine pas pour faire passer un message simple : l’électricien français aime la Chine, au point de désirer ardemment devenir une « entreprise chinoise », selon la formule employée hier, à Pékin, par Hervé Machenaud, le président de sa branche Asie-Pacifique.
Pour prouver sa passion, l’entreprise publique s’est payée une semaine de reportages sur la Chine, diffusés actuellement sur (...)