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Spectacles

Reportage "Japon : terres souillées"

Sur Arte - Événement national


Samedi 1er décembre 2012


18h35 sur Arte

Marie-Monique Robin (réalisatrice en 2008 du Monde selon Monsanto) a suivi, à une trentaine de kilomètres de la zone interdite de Fukushima, trois familles d’agriculteurs biologiques dont le destin a basculé :
"Si nous, les paysans, partons, nous ne pourrons pas transmettre l’histoire de cette terre aux jeunes", disent Seiju et sa fille Mizuho. Le césium qui s’était d’abord déposé sur les feuilles des arbres a été lessivé par les pluies, polluant les eaux de leurs rizières et de leurs cultures maraîchères. Mais ils ne renoncent pas. Aidés par un chercheur, ils testent des techniques de décontamination (labours multiples, apport de minéral absorbant les radioéléments), soulagés de constater que le riz biologique fixe deux fois moins le césium que les variétés conventionnelles.
Kisaburo et sa femme Midori, eux, se sont exilés, 350km plus loin. Les coopératives n’achetaient plus leurs légumes. Dans leur nouvelle exploitation, ils ne se sentent plus "écrasés par l’invisible".
Shisasei, lui, s’est donné la mort deux semaines après l’accident. Les autorités avaient ordonné la destruction de sa récolte d’épinards. Sa femme et son fils sont restés, parce qu’ils n’ont "pas le choix".
Loin de tout misérabilisme, ce sobre et pudique documentaire se termine par une note d’espoir. Celui des jeunes agriculteurs de Fukushima qui rêvent de reconstruire "le lien entre producteurs et consommateurs".

18h35 sur Arte

Marie-Monique Robin (réalisatrice en 2008 du Monde selon Monsanto) a suivi, à une trentaine de kilomètres de la zone interdite de Fukushima, trois familles d’agriculteurs biologiques dont le destin a basculé :
"Si nous, les paysans, partons, nous ne pourrons pas transmettre l’histoire de cette terre aux jeunes", disent Seiju et sa fille Mizuho. Le césium qui s’était d’abord déposé sur les feuilles des arbres a été lessivé par les pluies, polluant les eaux de leurs rizières et de leurs cultures maraîchères. Mais ils ne renoncent pas. Aidés par un chercheur, ils testent des techniques de décontamination (labours multiples, apport de minéral absorbant les radioéléments), soulagés de constater que le riz biologique fixe deux fois moins le césium que les variétés conventionnelles.
Kisaburo et sa femme Midori, eux, se sont exilés, 350km plus loin. Les coopératives n’achetaient plus leurs légumes. Dans leur nouvelle exploitation, ils ne se sentent plus "écrasés par l’invisible".
Shisasei, lui, s’est donné la mort deux semaines après l’accident. Les autorités avaient ordonné la destruction de sa récolte d’épinards. Sa femme et son fils sont restés, parce qu’ils n’ont "pas le choix".
Loin de tout misérabilisme, ce sobre et pudique documentaire se termine par une note d’espoir. Celui des jeunes agriculteurs de Fukushima qui rêvent de reconstruire "le lien entre producteurs et consommateurs".




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