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Sortir du nucléaire Loire et Vilaine

Présentation

Article publié le 2 octobre 2006



Groupe né en septembre 2005 de la fusion du groupe Sortir du nucléaire du Pays de Redon (créé à loccasion du Tour de France pour Sortir du nucléaire en mai 2004, où une fresque humaine rassembla 2000 personnes à Redon), et d’un groupe informel de militants nantais.

Le groupe travaille sur plusieurs fronts : action-phare en avril 2005 à Nantes : organisation d’une fresque humaine vue du ciel rassemblant près de 8000 personnes ; maintien dune dynamique interne des militants locaux par une information régulière, des rencontres et des projets anti-nucléaires et pro-alternatives ; sensibilisation du public : exposition itinérante sur les enfants de Tchernobyl, organisation de conférences, présences dans les foires, projet de jeu sur les énergies, communiqués de presse... ; relais des actions du Réseau ; vigilance locale (unités de production énergétique dans l’estuaire, transports de plutonium...), activation potentielle des militants locaux et forte implication dans l’action à Genève de présence permanente devant le siège de l’OMS pour protester contre l’accord entre l’OMS et l’AIEA...

Groupe né en septembre 2005 de la fusion du groupe Sortir du nucléaire du Pays de Redon (créé à loccasion du Tour de France pour Sortir du nucléaire en mai 2004, où une fresque humaine rassembla 2000 personnes à Redon), et d’un groupe informel de militants nantais.

Le groupe travaille sur plusieurs fronts : action-phare en avril 2005 à Nantes : organisation d’une fresque humaine vue du ciel rassemblant près de 8000 personnes ; maintien dune dynamique interne des militants locaux par une information régulière, des rencontres et des projets anti-nucléaires et pro-alternatives ; sensibilisation du public : exposition itinérante sur les enfants de Tchernobyl, organisation de conférences, présences dans les foires, projet de jeu sur les énergies, communiqués de presse... ; relais des actions du Réseau ; vigilance locale (unités de production énergétique dans l’estuaire, transports de plutonium...), activation potentielle des militants locaux et forte implication dans l’action à Genève de présence permanente devant le siège de l’OMS pour protester contre l’accord entre l’OMS et l’AIEA...