Le Grenelle de l’environnement avait été l’objet d’un troc : les associations écologistes ne feraient pas du nucléaire un dossier « chaud » et le gouvernement mettrait un terme à la culture des plantes génétiquement modifiées en plein champ. C’était un marché fort discutable – que certains mouvements ont refusé. C’était aussi un marché de dupes.
Le gouvernement avait assuré que la « clause de sauvegarde » serait activée pour interdire la culture en plein champ de l’OGM « pesticide » (…)