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Nos communiqués de presse

Nucléaire - Union européenne : le Réseau "Sortir du nucléaire" écrit aux 24 contre les propositions nucléaires de la France

Communiqué du 23 janvier 2006



Dans la perspective du conseil des Ministres des Finances de l’Union européenne qui se tient mardi 24 janvier 2006, le Réseau "Sortir du nucléaire" a écrit ce jour aux 24 pays pour dénoncer le mémorandum qui va être présenté par la France pour essayer de promouvoir le nucléaire, et son financement, à l’échelle de l’Union européenne.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" explique que "depuis 50 ans que l’industrie nucléaire est imposée par le pouvoir français, jamais la population n’a été consultée" mais que, "actuellement, concernant la construction en France de deux nouveaux réacteurs nucléaires (EPR et ITER), des "débats" sont organisées APRES que les décisions aient été prises", et que "pratiquement tous les réacteurs nucléaires qui existent en France ont été construits à grands renforts de compagnies de police (…) pour réprimer les manifestations massives de la population contre le nucléaire."

Le Réseau "Sortir du nucléaire" dénonce aussi l’utilisation systématique par la France, "pour tenter d’abuser la population", du terme "réacteurs du futur" alors "que leurs principes de conception datent des années 50", mais note néanmoins que "la population française reste majoritairement opposée au nucléaire." (54%, sondage IPSOS septembre 2005)

Le Réseau "Sortir du nucléaire" rappelle que, "bien qu’il fasse courir aux citoyens un risque maximal", le nucléaire a en réalité "une place marginale dans l’énergie mondiale et européenne (respectivement 6 et 15%), et une part en déclin irréversible (respectivement 4 et 9% en 2030)."

De fait, contrairement aux affirmations du gouvernement français, "le réchauffement climatique n’est pas près de s’arrêter si on compte sur le nucléaire pour le réduire" et, au contraire, "c’est le dérèglement climatique qui s’attaque au nucléaire", comme l’a montré "la canicule de l’été 2003 qui a mis à mal le nucléaire français."

Rappelant les innombrables promesses de l’industrie nucléaire, "jamais tenues" comme l’a montré "l’échec du surgénérateur Superphénix" qui a coûté "10 milliards d’euros pour rien", le Réseau "Sortir du nucléaire" demande aux 24 "de ne pas donner de crédit aux injonctions arrogantes du pouvoir français, totalement soumis au culte de l’atome", et de noter que le mémorandum qui leur sera présenté par M. Breton "est dénué de la moindre légitimité."

Pour finir, le Réseau "Sortir du nucléaire" engage "les peuples de l’Union européenne, pour lutter contre le réchauffement climatique et réduire l’indépendance énergétique, à investir massivement dans trois voies : l’efficacité énergétique, les économies d’énergie et les énergies renouvelables"

Le Conseil d’administration du Réseau "Sortir du nucléaire"

--------------------------------------------------------



Lundi 23 janvier 2006

Réseau "Sortir du nucléaire"
Fédération de 722 associations
9 rue Dumenge 69004 Lyon (France)
Tel : 00.33.478.282.922

à Mme ou M le Ministre des Finances


Madame, Monsieur le Ministre des Finances,

Un conseil des Ministres des Finances de l’Union européenne se tient mardi 24 janvier 2006. A cette occasion, la France, par l’intermédiaire de son ministre M. Breton, va proposer un mémorandum qui demande en particulier aux pays de l’Union de "prendre en compte la contribution de l’énergie nucléaire à la sécurité d’approvisionnement de l’Union, et la contribution de celle-ci à la lutte contre le réchauffement climatique". Il est aussi suggéré d’augmenter les dépenses communautaires "pour le développement de l’énergie nucléaire du futur".

Nous tenons à vous faire savoir que, depuis 50 ans que l’industrie nucléaire (civile et militaire) est imposée par le pouvoir français, jamais la population française n’a été consultée sur ces questions qui sont pourtant de la plus grande importance.

Actuellement, concernant la construction en France de deux nouveaux réacteurs nucléaires - un réacteur pour la fission, l’EPR, et un réacteur pour la fusion, l’ITER - des parodies de consultations sont organisées par le pouvoir français… APRES que les décisions aient été prises :

- la construction de l’EPR a été votée le 13 juillet 2005 et un "débat public" a commencé le 3 novembre, quatre mois et demi après !

- la construction de l’ITER a été négociée pendant des mois avec les partenaires étrangers (USA, Russie, Japon, Chine, Corée du Nord) pour arriver en juin 2005 à une décision de construction en France. Et c’est à partir du 26 janvier 2006, sept mois "après la bataille", qu’un pseudo "débat public" commence !

Tous les réacteurs nucléaires qui existent en France ont été construits à grands renforts de compagnies de police et de gendarmerie, de coups de matraques et de gaz lacrymogènes, pour réprimer les manifestations massives de la population contre le nucléaire.

Pour tenter d’abuser la population, tous les réacteurs nucléaires en projet en France sont baptisés réacteurs "du futur", alors que leurs principes de conception datent des années 50. Nous constatons que le pouvoir français tente de vous impressionner avec les mêmes méthodes ridicules.

Sachez que, malgré les incessantes campagnes publicitaires de l’industrie nucléaire à la télévision, la radio, dans les journaux, malgré des milliers de conférences pronucléaires menées depuis des décennies jusque dans les écoles primaires, avec la complicité active de la hiérarchie de l’éducation nationale, malgré des mensonges permanents, la population française reste majoritairement opposée au nucléaire.

En septembre 2005, un sondage mené par l’institut IFOP montre que 54% des français sont favorables à l’arrêt progressif du programme nucléaire civil en France(*). Ce total serait encore plus important s’il pouvait y avoir en France, pendant quelques semaines, une campagne d’opinion équilibrée entre les "pour" et les "contre", alors que depuis 50 ans seuls les "pour" ont les moyens de toucher l’opinion.

L’industrie nucléaire a imposé ses réacteurs en France bien avant que soit découvert le problème du réchauffement climatique. Et si ce dernier disparaissait subitement, le pouvoir Français imposerait encore le nucléaire. En réalité, malgré ce qu’ils en disent, ces gens n’ont que faire du réchauffement climatique et de l’avenir de la planète.

D’ailleurs, le réchauffement climatique n’est pas près de s’arrêter si on compte sur le nucléaire pour le réduire (ce qui est de toute façon une option absurde car le nucléaire condamne la planète tout autant que l’effet de serre). En effet, bien qu’il fasse courir aux citoyens un risque maximal, le nucléaire n’a en réalité qu’une place marginale dans l’énergie mondiale et européenne (respectivement 6 et 15%), et une part en déclin irréversible (respectivement 4 et 9% en 2030).

En réalité, c’est le dérèglement climatique qui s’attaque au nucléaire et non l’inverse ! La canicule de l’été 2003 a mis à mal le nucléaire français. Des réacteurs ont été arrosés par EDF, d’autres ont été arrêtés ou ont fonctionné à puissance réduite, mettant la France en situation de pénurie et l’obligeant à acheter à prix d’or de l’électricité à ses voisins.

Le réchauffement climatique est en marche : même si les mesures nécessaires étaient immédiatement prises au niveau mondial - ce qui est hélas loin d’être le cas -, le phénomène s’aggraverait encore pendant quelques décennies avant de se ralentir. Non seulement les centrales nucléaires ne vont rien empêcher, mais elles vont au contraire être mises en grande difficulté. En fin de compte, le réchauffement climatique est une raison de plus, et non des moindres, pour arrêter au plus vite toutes les centrales nucléaires.

De toute façon, même si des milliers de réacteurs nucléaires apparaissaient subitement sur Terre, ce serait une impasse : les réserves d’uranium seraient épuisées en quelques années. Quant aux réacteurs "du futur", capables de produire "plus de matières fissiles qu’ils n’en consomment", ils sont annoncés depuis 50 ans et ne voient jamais le jour. En France, le surgénérateur Superphénix, qui devait "régler définitivement les problèmes énergétiques du pays, puis de la planète en étant construit a série, a seulement réussi à anéantir 10 milliards d’euros pour rien.

Aujourd’hui, les mêmes promesses miraculeuses sont annoncées avec la fusion nucléaire (réacteur ITER), annoncée depuis 50 ans et toujours en échec. Idem pour des réacteurs ("du futur" !), appelés abusivement "de génération IV" alors que leurs principes existent depuis des décennies et que les quelques tentatives de mise au point ont toutes été des échecs.

Nous vous demandons de ne pas donner de crédit aux injonctions arrogantes du pouvoir français, totalement soumis au culte de l’atome, et de noter que le mémorandum qui vous sera présenté par M. Breton est dénué de la moindre légitimité.

Nous engageons les peuples de l’Union européenne, pour lutter contre le réchauffement climatique et réduire l’indépendance énergétique, à investir massivement dans trois voies :

- l’efficacité énergétique (consommer moins pour le même service)

- les économies d’énergie (éliminer toutes les consommations inutiles)

- les énergies renouvelables

En vous remerciant par avance, nous vous prions de croire, Madame, Monsieur le Ministre des Finances, à notre attachement à la protection de l’environnement et à la démocratie.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" (France)

(*) Au niveau mondial, le 14 décembre 2005, l’Agence internationale pour l’énergie atomique (AIEA) a publié un sondage réalisé dans 18 pays qui montre que 60% de la population mondiale souhaite la fin du nucléaire : 25% en fermant les centrales de façon anticipées, et 35% en ne construisant pas de nouvelles centrales. Et encore, ce sondage a été réalisé principalement dans des pays ayant une forte industrie nucléaire (USA, Russie, Japon, Grande-Bretagne, France, etc.)

Dans la perspective du conseil des Ministres des Finances de l’Union européenne qui se tient mardi 24 janvier 2006, le Réseau "Sortir du nucléaire" a écrit ce jour aux 24 pays pour dénoncer le mémorandum qui va être présenté par la France pour essayer de promouvoir le nucléaire, et son financement, à l’échelle de l’Union européenne.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" explique que "depuis 50 ans que l’industrie nucléaire est imposée par le pouvoir français, jamais la population n’a été consultée" mais que, "actuellement, concernant la construction en France de deux nouveaux réacteurs nucléaires (EPR et ITER), des "débats" sont organisées APRES que les décisions aient été prises", et que "pratiquement tous les réacteurs nucléaires qui existent en France ont été construits à grands renforts de compagnies de police (…) pour réprimer les manifestations massives de la population contre le nucléaire."

Le Réseau "Sortir du nucléaire" dénonce aussi l’utilisation systématique par la France, "pour tenter d’abuser la population", du terme "réacteurs du futur" alors "que leurs principes de conception datent des années 50", mais note néanmoins que "la population française reste majoritairement opposée au nucléaire." (54%, sondage IPSOS septembre 2005)

Le Réseau "Sortir du nucléaire" rappelle que, "bien qu’il fasse courir aux citoyens un risque maximal", le nucléaire a en réalité "une place marginale dans l’énergie mondiale et européenne (respectivement 6 et 15%), et une part en déclin irréversible (respectivement 4 et 9% en 2030)."

De fait, contrairement aux affirmations du gouvernement français, "le réchauffement climatique n’est pas près de s’arrêter si on compte sur le nucléaire pour le réduire" et, au contraire, "c’est le dérèglement climatique qui s’attaque au nucléaire", comme l’a montré "la canicule de l’été 2003 qui a mis à mal le nucléaire français."

Rappelant les innombrables promesses de l’industrie nucléaire, "jamais tenues" comme l’a montré "l’échec du surgénérateur Superphénix" qui a coûté "10 milliards d’euros pour rien", le Réseau "Sortir du nucléaire" demande aux 24 "de ne pas donner de crédit aux injonctions arrogantes du pouvoir français, totalement soumis au culte de l’atome", et de noter que le mémorandum qui leur sera présenté par M. Breton "est dénué de la moindre légitimité."

Pour finir, le Réseau "Sortir du nucléaire" engage "les peuples de l’Union européenne, pour lutter contre le réchauffement climatique et réduire l’indépendance énergétique, à investir massivement dans trois voies : l’efficacité énergétique, les économies d’énergie et les énergies renouvelables"

Le Conseil d’administration du Réseau "Sortir du nucléaire"

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Lundi 23 janvier 2006

Réseau "Sortir du nucléaire"
Fédération de 722 associations
9 rue Dumenge 69004 Lyon (France)
Tel : 00.33.478.282.922

à Mme ou M le Ministre des Finances


Madame, Monsieur le Ministre des Finances,

Un conseil des Ministres des Finances de l’Union européenne se tient mardi 24 janvier 2006. A cette occasion, la France, par l’intermédiaire de son ministre M. Breton, va proposer un mémorandum qui demande en particulier aux pays de l’Union de "prendre en compte la contribution de l’énergie nucléaire à la sécurité d’approvisionnement de l’Union, et la contribution de celle-ci à la lutte contre le réchauffement climatique". Il est aussi suggéré d’augmenter les dépenses communautaires "pour le développement de l’énergie nucléaire du futur".

Nous tenons à vous faire savoir que, depuis 50 ans que l’industrie nucléaire (civile et militaire) est imposée par le pouvoir français, jamais la population française n’a été consultée sur ces questions qui sont pourtant de la plus grande importance.

Actuellement, concernant la construction en France de deux nouveaux réacteurs nucléaires - un réacteur pour la fission, l’EPR, et un réacteur pour la fusion, l’ITER - des parodies de consultations sont organisées par le pouvoir français… APRES que les décisions aient été prises :

- la construction de l’EPR a été votée le 13 juillet 2005 et un "débat public" a commencé le 3 novembre, quatre mois et demi après !

- la construction de l’ITER a été négociée pendant des mois avec les partenaires étrangers (USA, Russie, Japon, Chine, Corée du Nord) pour arriver en juin 2005 à une décision de construction en France. Et c’est à partir du 26 janvier 2006, sept mois "après la bataille", qu’un pseudo "débat public" commence !

Tous les réacteurs nucléaires qui existent en France ont été construits à grands renforts de compagnies de police et de gendarmerie, de coups de matraques et de gaz lacrymogènes, pour réprimer les manifestations massives de la population contre le nucléaire.

Pour tenter d’abuser la population, tous les réacteurs nucléaires en projet en France sont baptisés réacteurs "du futur", alors que leurs principes de conception datent des années 50. Nous constatons que le pouvoir français tente de vous impressionner avec les mêmes méthodes ridicules.

Sachez que, malgré les incessantes campagnes publicitaires de l’industrie nucléaire à la télévision, la radio, dans les journaux, malgré des milliers de conférences pronucléaires menées depuis des décennies jusque dans les écoles primaires, avec la complicité active de la hiérarchie de l’éducation nationale, malgré des mensonges permanents, la population française reste majoritairement opposée au nucléaire.

En septembre 2005, un sondage mené par l’institut IFOP montre que 54% des français sont favorables à l’arrêt progressif du programme nucléaire civil en France(*). Ce total serait encore plus important s’il pouvait y avoir en France, pendant quelques semaines, une campagne d’opinion équilibrée entre les "pour" et les "contre", alors que depuis 50 ans seuls les "pour" ont les moyens de toucher l’opinion.

L’industrie nucléaire a imposé ses réacteurs en France bien avant que soit découvert le problème du réchauffement climatique. Et si ce dernier disparaissait subitement, le pouvoir Français imposerait encore le nucléaire. En réalité, malgré ce qu’ils en disent, ces gens n’ont que faire du réchauffement climatique et de l’avenir de la planète.

D’ailleurs, le réchauffement climatique n’est pas près de s’arrêter si on compte sur le nucléaire pour le réduire (ce qui est de toute façon une option absurde car le nucléaire condamne la planète tout autant que l’effet de serre). En effet, bien qu’il fasse courir aux citoyens un risque maximal, le nucléaire n’a en réalité qu’une place marginale dans l’énergie mondiale et européenne (respectivement 6 et 15%), et une part en déclin irréversible (respectivement 4 et 9% en 2030).

En réalité, c’est le dérèglement climatique qui s’attaque au nucléaire et non l’inverse ! La canicule de l’été 2003 a mis à mal le nucléaire français. Des réacteurs ont été arrosés par EDF, d’autres ont été arrêtés ou ont fonctionné à puissance réduite, mettant la France en situation de pénurie et l’obligeant à acheter à prix d’or de l’électricité à ses voisins.

Le réchauffement climatique est en marche : même si les mesures nécessaires étaient immédiatement prises au niveau mondial - ce qui est hélas loin d’être le cas -, le phénomène s’aggraverait encore pendant quelques décennies avant de se ralentir. Non seulement les centrales nucléaires ne vont rien empêcher, mais elles vont au contraire être mises en grande difficulté. En fin de compte, le réchauffement climatique est une raison de plus, et non des moindres, pour arrêter au plus vite toutes les centrales nucléaires.

De toute façon, même si des milliers de réacteurs nucléaires apparaissaient subitement sur Terre, ce serait une impasse : les réserves d’uranium seraient épuisées en quelques années. Quant aux réacteurs "du futur", capables de produire "plus de matières fissiles qu’ils n’en consomment", ils sont annoncés depuis 50 ans et ne voient jamais le jour. En France, le surgénérateur Superphénix, qui devait "régler définitivement les problèmes énergétiques du pays, puis de la planète en étant construit a série, a seulement réussi à anéantir 10 milliards d’euros pour rien.

Aujourd’hui, les mêmes promesses miraculeuses sont annoncées avec la fusion nucléaire (réacteur ITER), annoncée depuis 50 ans et toujours en échec. Idem pour des réacteurs ("du futur" !), appelés abusivement "de génération IV" alors que leurs principes existent depuis des décennies et que les quelques tentatives de mise au point ont toutes été des échecs.

Nous vous demandons de ne pas donner de crédit aux injonctions arrogantes du pouvoir français, totalement soumis au culte de l’atome, et de noter que le mémorandum qui vous sera présenté par M. Breton est dénué de la moindre légitimité.

Nous engageons les peuples de l’Union européenne, pour lutter contre le réchauffement climatique et réduire l’indépendance énergétique, à investir massivement dans trois voies :

- l’efficacité énergétique (consommer moins pour le même service)

- les économies d’énergie (éliminer toutes les consommations inutiles)

- les énergies renouvelables

En vous remerciant par avance, nous vous prions de croire, Madame, Monsieur le Ministre des Finances, à notre attachement à la protection de l’environnement et à la démocratie.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" (France)

(*) Au niveau mondial, le 14 décembre 2005, l’Agence internationale pour l’énergie atomique (AIEA) a publié un sondage réalisé dans 18 pays qui montre que 60% de la population mondiale souhaite la fin du nucléaire : 25% en fermant les centrales de façon anticipées, et 35% en ne construisant pas de nouvelles centrales. Et encore, ce sondage a été réalisé principalement dans des pays ayant une forte industrie nucléaire (USA, Russie, Japon, Grande-Bretagne, France, etc.)


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