par olivier cabanel
Ce vert, qui fait trembler les comédiens, (il porterait la poisse ?), et les fervents adorateurs du nucléaire, est avant tout la couleur de l’espoir.
Pour la petite histoire, en réalité, pour les comédiens, cette parano du vert était liée à l’utilisation de l’arsenic, lequel servait à l’époque à donner à leurs costumes de scène cette belle couleur verte, et la transpiration aidant, l’arsenic venait contaminer l’acteur, avec les conséquences que l’on peut imaginer. lien (...)