TOKYO (Reuters) - La passion que voue Jacques Chirac au Japon n’a pas suffi à aplanir les divergences persistantes entre Paris et Tokyo sur l’implantation du premier réacteur à fusion nucléaire (Iter) et l’éventuelle levée de l’embargo européen sur les ventes d’armes à la Chine. Le président français et le Premier ministre Junichiro Koizumi n’ont pas cédé d’un pouce lors d’une conférence de presse sur ces deux dossiers qui viennent assombrir des relations qu’ils se sont attachés à décrire comme "excellentes". A (...)