13 janvier 2020
Le 13 janvier 2020 en début de soirée, le réacteur 2 de la centrale nucléaire du Blayais (Gironde) s’est arrêté automatiquement. L’exploitant n’a pas identifié les causes de cet arrêt en urgence. Il annoncera au moment du redémarrage un "aléas technique sur un composant électrique". Quel type d’aléas ? Quel composant ? Sur quel circuit ? Sur le fond, l’exploitant ne donnera aucune explication. Pourtant, un arrêt automatique n’est pas anodin puisqu’il survient lorsque des dysfonctionnements sont détectés par les systèmes de surveillance de l’activité du réacteur nucléaire.
L.B.
Publié le 13/01/2020
Le 13 janvier 2020 à 21h00, l’unité de production n°2 de la centrale nucléaire du Blayais s’est arrêtée automatiquement, conformément aux dispositifs de sûreté et de protection du réacteur.
Les équipes d’exploitation de la centrale nucléaire de Blayais procèdent aux contrôles et interventions qui permettront de déterminer l’origine exacte de l’événement et de redémarrer l’unité de production n°2 dans les meilleurs délais. Cet arrêt n’a aucun impact sur la sûreté des installations, ni sur l’environnement.
Les unités de production n°1, 3 et 4 sont connectées au réseau électrique national.
Publié le 16/01/2020
Le 15 janvier 2020 à 20h45, l’unité de production n°2 de la centrale nucléaire du Blayais a été reconnectée au réseau électrique.
Elle s’était arrêtée automatiquement le 13 janvier en raison d’un aléa technique sur un composant électrique. La mobilisation et l’intervention des équipes de la centrale du Blayais a permis de gérer cet aléa dans les meilleurs délais.
Cet arrêt n’a eu aucune conséquence sur la sûreté des installations. Les quatre unités de production sont connectées au réseau électrique national.