Si EDF ne parvenait pas à convaincre les actionnaires de British Energy d’accepter son offre de rachat, le groupe français ne serait pas à court d’options pour construire à partir de sa base dans le nucléaire et se développer dans de nouvelles activités telles que le gaz.
Le marché attendait une annonce par EDF, vendredi 1er août, d’une offre d’environ 12 milliards de livres en numéraire (plus de 15 milliards d’euros) pour le rachat de l’opérateur britannique de centrales nucléaires, (...)