Conférence "La transition énergétique, parlons-en !"
Montceau les Mines (71) - Bourgogne
Lundi 23 janvier 2012
De 18h15 à 23h à Montceau les Mines au centre nautique. Avec Thomas Guéret, ingénieur et corédacteur du scénario négaWatt et Stephen Kerckhove, délégué général de l’association "Agir pour l’environnement", auteur de "HOLD-UP sur l’écologie". Entrée libre et buffet.
L’avenir énergétique de notre pays se prépare aujourd’hui . Quelles seront les conséquences de nos choix sur l’aménagement du territoire, sur l’emploi, sur la qualité de vie ?
Le nucléaire, faut-il, peut-on en sortir ? Le sujet n’est plus tabou. Les dogmes sur lesquels reposent sa légitimité, énergie abondante et bon marché, risque zéro, réduction des gaz à effet de serre. sont mis à l’épreuve de la réalité.
Le maintien du nucléaire fait peser un coût important sur les dépenses publiques de notre pays, si l’on inclut l’impérative mise à niveau de sécurité des installations, les surcoûts en croissance exponentielle de l’EPR, la gestion des déchets, le démantèlement…
L’accident de Fukushima est venu détruire le mythe de la sécurité et de la maîtrise de l’atome. Le risque d’un accident majeur peut survenir, même dans un pays démocratique et en pointe sur le plan technologique.
Plusieurs gouvernements s’engagent sur la voie de la sortie du nucléaire et investissent fortement dans d’autres types d’énergie, créatrices d’emplois.
Aucune solution technologique viable n’existe pour les déchets nucléaires. L’indépendance énergétique repose sur l’exploitation de mines à l’étranger.
Les économies de CO2 qui seraient réalisées sont très surestimées car elles supposent que toute notre électricité non nucléaire serait produite à partir du charbon.
A juste titre la population s’interroge.
Les écologistes proposent une transition énergétique à l’échelle d’une génération, adossée à une véritable politique de maîtrise des consommations et d’efficacité énergétique. Les énergies renouvelables constitueront un levier essentiel pour le développement des territoires (à titre d’exemple 370000 emplois ont été crées en Allemagne grâce à ces filières).
Des scénarios globaux, de long terme, permettant de conjuguer la lutte contre les changements climatiques et la sortie du nucléaire existent.
De 18h15 à 23h à Montceau les Mines au centre nautique. Avec Thomas Guéret, ingénieur et corédacteur du scénario négaWatt et Stephen Kerckhove, délégué général de l’association "Agir pour l’environnement", auteur de "HOLD-UP sur l’écologie". Entrée libre et buffet.
L’avenir énergétique de notre pays se prépare aujourd’hui . Quelles seront les conséquences de nos choix sur l’aménagement du territoire, sur l’emploi, sur la qualité de vie ?
Le nucléaire, faut-il, peut-on en sortir ? Le sujet n’est plus tabou. Les dogmes sur lesquels reposent sa légitimité, énergie abondante et bon marché, risque zéro, réduction des gaz à effet de serre. sont mis à l’épreuve de la réalité.
Le maintien du nucléaire fait peser un coût important sur les dépenses publiques de notre pays, si l’on inclut l’impérative mise à niveau de sécurité des installations, les surcoûts en croissance exponentielle de l’EPR, la gestion des déchets, le démantèlement…
L’accident de Fukushima est venu détruire le mythe de la sécurité et de la maîtrise de l’atome. Le risque d’un accident majeur peut survenir, même dans un pays démocratique et en pointe sur le plan technologique.
Plusieurs gouvernements s’engagent sur la voie de la sortie du nucléaire et investissent fortement dans d’autres types d’énergie, créatrices d’emplois.
Aucune solution technologique viable n’existe pour les déchets nucléaires. L’indépendance énergétique repose sur l’exploitation de mines à l’étranger.
Les économies de CO2 qui seraient réalisées sont très surestimées car elles supposent que toute notre électricité non nucléaire serait produite à partir du charbon.
A juste titre la population s’interroge.
Les écologistes proposent une transition énergétique à l’échelle d’une génération, adossée à une véritable politique de maîtrise des consommations et d’efficacité énergétique. Les énergies renouvelables constitueront un levier essentiel pour le développement des territoires (à titre d’exemple 370000 emplois ont été crées en Allemagne grâce à ces filières).
Des scénarios globaux, de long terme, permettant de conjuguer la lutte contre les changements climatiques et la sortie du nucléaire existent.
Depuis plus de 20 ans Le Réseau "Sortir du nucléaire" apporte son soutien aux groupes antinucléaires. Ils sont le fondement de notre association et du mouvement antinucléaire en France. Chaque année, le Réseau relaie massivement leurs actions et les soutient financièrement.
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