Floriane Leclerc
Un employé de l’Agence nationale de gestion des déchets radioactifs dans un tunnel à 500 mètres de profondeur, à Bure, dans la Meuse, le 11 juin 2012 | REUTERS/Vincent Kessler
Il ne suffit pas que les sites de stockage des déchets nucléaires résistent des centaines de milliers d’années : il faut aussi que l’homme se rappelle son existence d’ici là.
C’est un véritable défi que les pays nucléarisés vont devoir relever. Depuis quelques années, certains envisagent, (...)