L’Autorité de sûreté juge que les anomalies présentées par les générateurs de vapeur de certaines unités n’entraînent pas de risques, sous réserve d’un contrôle au cas par cas.
Pierre Le Hir
La France ne passera pas l’hiver aux tisons, comme le laissait craindre l’indisponibilité d’une partie de son parc nucléaire, affectée par un excès de carbone dans l’acier des générateurs de vapeur. Le collège de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), réuni lundi�5�décembre en séance (...)