Admirateurs et détracteurs d’Anne Lauvergeon la dépeignent souvent comme une "guerrière", toujours prête à se battre pour obtenir ce qu’elle veut. Ce que la présidente du directoire d’Areva voulait ces derniers mois ?
Sa reconduction à la tête d’un groupe, numéro un mondial de l’industrie nucléaire, qu’elle a contribué à créer, en 2001, par le rapprochement de CEA Industrie, Cogema (matières nucléaires) et Framatome (réacteurs). Elle l’a obtenue. Après le feu vert de l’Elysée et de (...)