Nos dossiers et analyses
L’EPR ne résisterait pas à la chute d’un avion de ligne
En 2006, le Réseau "Sortir du nucléaire" rendait public un document "confidentiel défense" qui témoignait que la conception de l’EPR, et notamment le dimensionnement de sa "bunkérisation", n’a été faite qu’en tenant compte du risque de crash d’un avion militaire. Or, de toute évidence, la (...)
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Soupapes de sûreté : "une régression" selon l’IRSN
En décembre 2014 puis juin 2015 , la presse révèle un (nouveau) problème de conception sérieux sur un système de sûreté de l’EPR, les soupapes de sûreté du pressuriseur.
Chacune de ces soupapes a deux fonctions : d’une part, elle doit pouvoir être ouverte pour relâcher de la vapeur en cas (...)
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Un risque avéré d’accident grave par éjection des grappes de contrôle
Au cours de l’année 2010, le Réseau "Sortir du nucléaire" a rendu publics plusieurs documents confidentiels qui jettent une lumière crue sur une accumulation de défauts de conception d’un dispositif crucial pour la sûreté du réacteur EPR, les grappes de contrôle.
Les grappes de contrôle (...)
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Le récupérateur de corium : ce qui est sûr, c’est le risque
Areva n’a eu de cesse, dès les années 1990, de présenter l’EPR comme le réacteur nucléaire "le plus sûr du monde", arguant en particulier de la présence d’une double enceinte en béton, de quatre systèmes de sauvegarde redondants (dont deux bunkerisés), ainsi que d’un "récupérateur de corium" (...)
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Une conception qui date d’avant Fukushima
En 2005, la DGSNR (Direction Générale de la Sûreté Nucléaire et de la Radioprotection) déclarait que si l’EPR n’était pas construit prochainement, il faudrait revoir les objectifs de sûreté parce qu’ils avaient été fixés 10 ans en arrière . Plus de 10 ans après, la construction de l’EPR de (...)
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L’EPR "n’est pas un produit industriellement mature"
Dans leur note interne révélée par Médiapart en mars 2016, d’anonymes ingénieurs EDF écrivent : "l’EPR dans son état actuel n’est pas un produit industriellement mature […] il est apparu, au fil de la construction de l’EPR de Flamanville 3, que la conception initiale du modèle EPR initial (...)
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Un réacteur construit pour... savoir construire des réacteurs !
En 2001, le rapport sur la programmation pluriannuelle des investissements pour la production d’électricité (PPI) reconnaissait explicitement que "le parc nucléaire existant est suffisant pour répondre à la demande" et que "cette situation perdurera jusqu’en 2010. Il n’y a donc pas de besoin (...)
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Un réacteur "européen" très franco-français...
"European Pressurized Reactor", le réacteur européen à eau pressurisée : ce nom en témoigne, les ambitions initiales étaient élevées. Il s’agissait rien moins que de mettre sur le marché le premier réacteur nucléaire "de 3e génération" et d’en faire le modèle leader en Europe et sur le marché (...)
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L’explosion atomique des délais et des coûts
En 2003, tandis que le réacteur EPR à Flamanville était encore à l’état de projet et estimé à environ 3 milliards d’euros, le directeur de la division ingénierie nucléaire d’EDF, Bernard Salha, déclarait : "Il n’y a pas ou peu de risque de dépassement budgétaire car tous les grands contrats (...)
Documents de référence
EPR de Flamanville : mettre fin au fiasco
Réseau "Sortir du nucléaire" - Xavier Rabilloud
Analyse publiée dans la revue "Sortir du nucléaire" n°70
Une version plus complète est lisible en ligne ici : https://www.sortirdunucleaire.org/EPR-de-Flamanville-le-fiasco-industriel