2 avril 2019
Le réacteur 2 de la centrale nucléaire de Paluel, mis à mal par la chute d’un de ses générateur de vapeur lors de son remplacement en 2016, resté à l’arrêt près de 2 ans pour remise en état, s’est arrêté automatiquement lundi 1er avril 2019 en soirée. Les équipes d’EDF n’ont pas identifié la raison du déclenchement de ce dispositif qui se met en marche automatiquement lorsqu’une situation anormale est détectée. Le réacteur nucléaire sera redémarré 5 jours plus tard. Les conditions climatiques seraient responsables de l’incident : EDF évoquera un "des défauts survenus sur la ligne d’évacuation haute tension, du fait du brouillard salin".
Publié le 02/04/2019
Lundi 1 avril 2019 à 20h45, le réacteur de l’unité de production numéro 2 s’est arrêté automatiquement, conformément aux dispositifs de sûreté et de protection du réacteur. L’unité de production a été déconnectée du réseau national d’électricité.
Les équipes de conduite sont mobilisées afin d’identifier les causes de cet arrêt automatique et assurer le redémarrage de l’unité de production en toute sûreté.
Cet arrêt n’a aucun impact sur la sûreté des installations, ni sur l’environnement.
Les unités de production 1 et 3 sont connectées au réseau national d’électricité. L’unité de production n°4 est à l’arrêt pour maintenance.
Publié le 08/04/2019
L’unité de production n°2 de la centrale nucléaire de Paluel a été connectée au réseau national d’électricité vendredi 5 avril 2019 à 11H45.
Elle avait été déconnectée du réseau national d’électricité le 1er avril à 20h35, suite à la mise en sécurité automatique de son réacteur.
L’origine de cet arrêt automatique est liée à des défauts survenus sur la ligne d’évacuation haute tension, du fait du brouillard salin, qui ont conduits au déclenchement de la turbine et à l’arrêt du réacteur.
Les unités de production 1 et 3 sont connectées au réseau national d’électricité. L’unité de production 4 est à l’arrêt pour maintenance (réalisation de la troisième visite décennale).