Depuis 1998, le Réseau "Sortir du nucléaire" a été à l’initiative des nombreuses campagnes.
Maire de Grenoble et candidat dans la troisième circonscription de l’Isère
spécialité :
▸ représentant du CEA
Docteur en physique nucléaire, Michel Destot a travaillé plus de 15 ans au Commissariat à l’Énergie Atomique (CEA). En 1989, il crée la start-up Corys [1], issue de la privatisation d’une activité développée au CEA, spécialisée dans la réalisation de simulateurs destinés notamment aux centrales nucléaires. Il devient le PDG de Corys, et en restera actionnaire jusqu’en 1995. En 1997, Corys dépose son bilan et est rachetée par une société belge.
Geneviève Fioraso (députée iséroise, membre du Conseil d’Administration de l’ANDRA, nouvellement nommée Ministre de la Recherche), participera également à la direction de Corys jusqu’en 1995, avant de devenir la directrice de cabinet de Michel Destot.
Maire de Grenoble depuis 1995, le préfacier de l’ouvrage Des neutrons pour la science [2] s’enorgueillit de la présence au coeur de sa ville des réacteurs de l’industrie de recherche Laue-Langevin. Prenant l’implantation du CEA à Grenoble comme modèle, il prône le rapprochement entre la recherche et l’industrie.
Député de l’Isère depuis 1988, il intervient régulièrement dans les débats parlementaires sur l’énergie. En 1998, il plaide vigoureusement en faveur du développement du MOX [3]. Il est également auteur d’un rapport parlementaire très favorable au réacteur de fusion ITER [4].
Michel Destot est également membre du comité de parrainage de l’association de promotion du nucléaire "Sauvons le climat" [5], soutenue par... EDF.
>> https://www.assemblee-nationale.fr/13/tribun/fiches_id/1116.asp
[2] Des neutrons pour la science : histoire de l’institut Laue-Langevin, une coopération internationale particulièrement réussie, Bernard Jacrot, éditions EDP Sciences, 2006
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